[Fanfic][Yaoi] Red Moon [ TERMINEE !!!!!]

oui d'accord avec Aori on attendra xD donc tu peux la mettre ce soir

ça vous va si je la met quand j'ai finit de manger tout à l'heure? ^^
donc vers 23h/23h30~

Ouais ça nous va^^

parfait pour moi ^^
merci

bon app'

pis moi j'ai pas fini de beta lecteeeeeeeeeeer :p

Bon voila le chapitre 4 et avec 5 minute d'avance en plus 8D
Bon aprés va falloir attendre~

Bon lecture quand même ^^ Et aprés dîte moi ce que vous en pensez, Decortiquez moi ce chapitre!!! xD je veux une reviews bien remplis héhé...

Genre : UA ah pis euh…c’est acidulé vers le milieu du chapitre cette fois ci~ ^^’
Couple : ben on a déjà un Denka/Erina mais il semble compromis pour le moment…oh pis un Kei/Mikaru aussi xD ;
Disclaimer : ils s’appartiennent ! ;_; sauf Miyako ! ! Ah, ah XD
Déclaration de l'auteur : Fiou ! ! Déjà le chapitre 4 xD c’est fou ce que j’avance vite ^^’
Bande son : Sugizo ; Yann Tiersen~…et People Error en boucle pour toute la fin >< (cette musique m’inspire des trucs bizarre quand même >_>)

Red Moon
Chapitre 4

Allongé dans un grand lit à Baldaquin, les bras repliés derrière sa tête, il regarde le plafond.
Les rideaux noirs, opaques qui entourent le lit, empêchent de passer toute lumière qui aurait pu filtrer au travers des épais volets de bois massif qui bouchaient les fenêtres.

Ses pensées vagabondent, il pense…surtout à lui. Il l’intrigue. Depuis la première fois où il l’a vu. Son regard triste l’avait étonné et c’est pour ça qu’il l’avait choisit lui plutôt que n’importe quel autre humain présent à ce moment là.
Oui il l’avait attiré. Cela arrivait parfois, c’est comme…si ce n’était pas lui qui choisissait sa proie mais plutôt elle qui le choisissait lui.
Il avait plusieurs fois entendu parler de ce phénomène sans jamais le vivre. Il s’était demandé ce qu’on ressentait dans ces moments là…
Maintenant qu’il savait il regrettait presque que ça soit arrivé. Cette situation lui faisait se poser des questions auxquelles il n’avait pas de réponse et le mettait devant des choix qu’il avait du mal à faire.

Il soupira.
Son visage lui revint en mémoire. Ses cheveux, si longs et si doux. Sa peau, si incroyablement blanche…presque autant que la sienne. Et ses yeux qui reflétaient si bien ses émotions…
Pourquoi ne l’avait il pas fait. Il aurait été tellement facile de le faire… quelque chose l’en avait empêché…
Plusieurs fois il s’était penché, s’approchant de ce cou si appétissant, mais dès qu’il s’apprêtait à toucher la peau si fine de ce cou ô combien appétissant…quelque chose l’en empêchait.
Un murmure de sa part, un léger gémissement…son cœur qui bat ou son souffle contre sa peau brûlante
Un frisson parcourut son corps à ces souvenirs.…
Ses mains vinrent se poser sur son visage. Cette histoire le perturbait plus qu’il ne voulait bien l’admettre.

Il l’aimait ? Oui peut être…
Non impossible ! Il ne pouvait pas…et de toute façon il n’en avait pas le droit
Pourtant...
Non ! ne pas penser à ça, ne pas penser à lui, à son sourire après qu’il l’ait embrassé, à ce regard qu’il avait si expressif, a ses lèvres si appétissantes…
Si, il l’aimait, il devait l’admettre…
Mais il n’en avait pas le droit. s’ILS l’apprenaient il n’osait même pas imaginer ce qu’il lui arriverait…
Il devait le faire. Oui il allait devoir le faire…il le ferait sûrement la prochaine fois…
Pourquoi cette décision lui semblait soudain si difficile à prendre ?
Et pourquoi ne l’avait-il pas fait ce soir la, où cela aurait été encore si simple…
Peut être parce qu’il l’avait aimé dès qu’il l’avait vu ? …Non, c’était impossible, il ne POUVAIT pas l’aimer, impossible. Les gens comme lui ne pouvaient pas aimer, il n’en avaient pas le droit.
Un lourd remord naquit en lui. Comment avait-il pu souiller un tel ange ?
Si, il l’aimait…
Non ! Il croyait l’aimer mais ce n’était pas de l’amour. L’amour, il ne savait pas ce que c’était, il n’était pas né pour le connaître, il était né pour …
Pourquoi était-il né déjà ?
Il ne le savait même pas. Qui peut dire pourquoi on naît ? Personne…surtout les …choses comme lui.
Comment quelqu’un qui ne peut pas mourir peut-il avoir une raison de vivre ? Car lorsque l’on aime quelqu’un, ne devient-il pas notre seule raison de vivre ? Celle qui nous aide a avancer ?
Mais lui il n’a pas besoin d’avancer…
S’il le pouvait encore il se serait laisser mourir…
Une goutte de sang tomba sur son oreiller, suivie d’une autre.

Il savait pourquoi il n’avait pas le droit d’aimer. Car l’amour fait souffrir et pleurer les cœurs, pleurer des larmes de sang…
Ce sang dont il a tellement besoin pour vivre…

De sang…son sang…il sentait encore le goût si délicat de ce liquide si précieux qu’il avait sentit sur ses lèvres durant un instant. Mais même cela n’avait pas réussit a le convaincre de le faire.
Pourtant rien que d’imaginer cette scène le faisait frissonner. Il rêvait de pouvoir sentir la peau se transpercer lentement sous ses dents aiguisées pour en laisser échapper ce doux liquide écarlate…
Oh oui il le voulait…mais que ferait-il après ?
Son cœur…en avait-il un ? Oui, sinon que sentirait-il se serrer dans sa poitrine à ces pensées? Oui il en avait un…il l’avait senti battre à l’unisson du sien alors qu’ils ne faisaient qu’un.

De nouveau ce manque…il était presque parvenu à l’oublier et voilà qu’il revenait comme une gifle en pleine figure.
Il voulait…oui il le voulait…sentir sa peau sous ses mains, l’entendre gémir, crier…entendre sa douce voix lui dire qu’il l’aimait…
Et lui répondre…
Lui mentir ?
Non il ne lui mentait pas…
Mais comment pouvait-il savoir ce qu’était l’amour, lui qui était incapable de le connaître ?
Du moins il se croyait incapable…

Toujours ces mêmes questions inlassablement, toujours ces mots qui tournent dans sa tête, le faisant devenir fou. Le sang coulant de ses yeux se transformait en flot. Il devait se calmer où il ne survivrait pas.
Il devrait vivre…ou du moins rester dans cette était entre vie et mort qui était le sien depuis qu’il était devenu ainsi.
Les larmes cessèrent peut à peu de coulé le laissant faible. Il utilisa le peu de force qu’il lui restait pour se lever et atteindre son armoire où il gardait quelques réserves pour le cas-où. Il avait pour coutume de dire qu’on n’« était jamais trop prudent » et avait ainsi formé cette petite réserve.
Il prit l’un des flacons et le but cul-sec.
Une grimace déforma son beau visage. Non pas qu’il soit mauvais, c’était le meilleur de sa réserve…mais son goût lui paraissait tellement…insipide à côté du sien…

Encore ces pensées ! Pourquoi tout le ramenait forcément a lui ?
Il chassa son visage de son esprit. Il ne l’aimait pas, c’était impossible…
Mais après tout…il ne savait pas ce que c’était l’amour…il ne l’avait jamais connu…
Il n’était jamais sorti de cette chambre depuis le jour où on l’y avait enfermé jusqu'à ce qu’il soit en âge de faire parti du clan. Il avait 7 ans à l’époque, trop jeune pour avoir connu l’amour charnel, trop jeune pour avoir connu autre chose que l’amour de sa mère en fait…
Et encore…sa mère, il n’en avait aucun souvenir. Juste qu’elle avait de beaux cheveux très clairs et une peau très pâle…
Un peu comme lui en fait…

Mikaru poussa un soupir. Il n’arriverait pas à sortir cet homme de sa tête. Et finalement était-ce si dérangeant que ça ?
Il allait pour retourner s’allonger sur le lit, il lui restait encore plusieurs heures avant la nuit, mais il sentit une présence derrière lui. Quelques choses ou quelqu’un qui n’était pas là quelques minutes avant.
Des respirations, légères mais présentes, quelques bruits de pas tranquilles. Le nouveau venu ne faisait rien pour ne pas se faire entendre.
Un sourire s’esquissa sur les lèvres du châtain. Il savait qui était la.
Doucement, il se retourna. L’homme était appuyé contre l’un des piliers du baldaquin. Un peu plus grand de lui, les cheveux plus longs aussi.
Ils se regardèrent un long moment avant que l’un ne prennent la parole. Ce fut Mikaru qui brisa le silence.

« - Ivy…ça fait bien longtemps que tu n’étais pas venu me rendre visite…
- Oui. Je manque de temps que veux-tu.
- Tes nouvelles responsabilités sont à ce point prenantes pour que tu oublies ton meilleur ami ? »

Un large sourire s’était épanoui sur ses lèvres, mais il se fana, remarquant la mine peu réjouie de son ami.

« - Ou alors tu es venu car il se passe quelques chose me concernant.
- Je ne vais pas y aller par quatre chemins Mikaru. Tu as une mission. Trouver des proies et les ramener ici.
- Je connais ma mission !
- Alors pourquoi n’as-tu toujours pas ramené cet humain !
- Je…
- Je suis parfaitement au courant de ce qui se passe entre vous. Mais il n’est pas encore trop tard. Tu as encore le choix. Soit tu le fais. Soit tu le ramènes ici. »

Mikaru fixa le sol. Il savait ce qu’il lui arriverait s’il leur amenait Kei. Il finirait…comme avait fini sa mère…
Non, il ne fallait pas que ça arrive.

« - Ivy…je….
- Oui ?
- Si je demandais l’autorisation d’en faire l’un des nôtres. Serait-ce accepté ? »

~

(jlai coupé en deux ça tenait pas sinon >_>)

~
Cela faisait plusieurs heures qu’il entendait les fines gouttes de pluie frapper contre les carreaux de sa vitre, parfois plus fort que d’autres.
« Une vraie tempête » pensa-t-il un instant avant de se replonger pour la dixième fois de l’après-midi dans cette lettre qu’il avait reçu le matin même.
Il poussa un long soupir et posa finalement la missive sur son bureau. Il s’appuya sur le dossier de son siége, se frottant les yeux comme si ce geste allait l’aider à trouver une solution à ses problèmes. Finalement il se leva et sortit de la pièce.
Ses pas le menèrent vers la cuisine où aucun domestique ne travaillait pour le moment et se servit un verre d’eau. Un nouveau soupir franchit ses lèvres.
Il reposa le verre sur la table placée au centre de la large pièce et se décida a retourner dans son bureau, même si l’envie n’y était pas. Alors qu’il avançait dans le hall d’entrée pour rejoindre les escaliers, des coups furent frappés à la porte. Denka se stoppa. Quelque chose lui disait qu’il devait y aller.
D’autres coups furent portés à la porte de bois de l’entrée. Le jeune homme descendit les quelques marches qu’il avait eu le temps de monter et alla ouvrir la porte.

« - C’est pour qu… »

Sa voix mourut lorsqu’il le vit. Combien de temps avait-il attendu sous la pluie ? Longtemps à en juger à ses cheveux dégoulinants. Un rapide coup d’œil l’informa que ses vêtements n’étaient pas dans un meilleur état. D’un mouvement brusque, il attrapa le bras de son visiteur et le traîna à l’intérieur. « Inconscient ! Complètement inconscient ! » Pensa t’il en lui-même alors qu’il courrait jusqu'à son cabinet de toilette chercher une serviette pour son visiteur inattendu.
Lorsqu’il revint, l’autre n’avait toujours pas bougé. Il lui tendit la serviette, mais devant son manque de réaction évident, il commença a essuyer lui-même ses cheveux.

«- Je peux savoir pourquoi tu es venu à pied ? »

Aucune réponse.

«- Erina, répond moi…par un temps pareil en plus tu es vraiment inconscient…tu pourrais tomber malade… »

Denka arrêta de lui sécher les cheveux un instant et le regarda dans les yeux. Il remarqua alors ses yeux brillant et ses lèvres pincée comme s’il…

«- Erina ? »

A peine avait il prononcé son prénom que celui-ci se jetait dans ses bras, pleurant et sanglotant. Denka resta un instant sans savoir quoi faire avant de finalement le prendre dans ses bras à son tour et de le serrer contre lui. Sa main se perdit dans ses cheveux encore humides et il colla sa joue à la sienne en murmurant des mots réconfortants.

«- Chut…ça va aller…calme toi petit cœur… »

Il savait que ces mots le calmeraient, cela avait toujours marché jusque là…mais aujourd’hui ils eurent l’effet inverse. Que s’était-il donc passé pour le mettre dans un état pareil ? Pour que même les mots qui le réconfortaient avant n’y arrivent plus ?
Voyant qu’il ne se calmait pas, Denka finit par le prendre dans ses bras pour le porter jusqu'à l’étage. Erina se raccrocha presque désespérément à son cou alors qu'il montait les marches. Pleurant toujours silencieusement, le visage enfoui dans le creux du cou de Denka.
Arrivé en face de la porte de son bureau, Denka reposa doucement Erina au sol avant d’ouvrir la porte et de le faire entrer. Il l’invita à s’asseoir sur l’une des chaises.
Erina avait le regard plongé sur le sol. Les larmes s’étaient arrêtées mais les sanglots continuaient de secouer ses fines épaules.
Ils restèrent un long moment ainsi, Denka regardant avec inquiétude Erina qui continuait de fixer le sol. Denka finit par détourner son regard et celui-ci se posa alors sur la lettre qu’il avait reçut le matin même.

« - Tu l’as reçue aussi c’est ça… ? »

Aucune réponse. Erina porta les mains à son visage, le cachant de celles-ci et recommença a sangloter.

« - On devait s’y attendre, ce n’était plus qu’une question de temps…
- Je sais ça ! »

Erina s’était levé d’un bond, faisant basculer sa chaise. Ses mains tremblaient de façon incontrôlable et ses yeux trempés de larmes reflétaient toute la haine que lui inspirait cette nouvelle. Puis soudain ses bras retombèrent le long de son corps.

« - Je sais ça…mais je gardais espoir que l’on puisse…malgré ça…sans qu’ils n’en sachent rien… »

Denka n’ajouta rien, il n’y avait rien à dire. Lui aussi en avait envie, il aimait Erina plus qu’il n’avait aimé aucune femme. Ils avaient réussi à construire quelque chose tous les deux, malgré les difficultés à s’avouer aimer un homme, puis celle du regard des autres. Et lorsqu’ils avaient enfin trouvé un équilibre, voilà que leurs familles se mettaient entre eux. Même si c’était inconsciemment, cela faisait mal, très mal. Ils avaient accepté sans broncher, continuant de se voir discrètement d’abord, et finalement Denka avait décidé de tout arrêter. La situation devenait beaucoup trop dangereuse pour eux, et même en faisant attention ils risquaient bien plus que leur propre bonheur.
Denka leva les yeux vers celui qu’il aimait toujours et leurs regards se croisèrent. Erina détourna la tête, et se dirigea à pas lents vers la fenêtre. Dehors, la nuit était tombée. La pluie tombait toujours, et même parfois, un éclair éclairait la pièce de sa lumière crue.
Un roulement de tonnerre…

« - Ma mère veut me marier »

…Et le silence.

« -Elle veut que je rentre. Elle dit qu’il est tant que je prenne mes responsabilités envers la famille. Elle m’a choisi des femmes et veut que je vienne les rencontrer. »

La voix qui parlait était monocorde. Elle semblait répéter un discours appris par cœur. Denka se leva de son siège et se dirigea vers la fenêtre à coté de laquelle Erina était toujours. Ses bras entourèrent sa taille et son visage s’enfouit dans ses cheveux. Il respira profondément leur odeur. Il sentait l’orage. Erina se retourna brusquement et se remit à pleurer entre ses bras, frappant violement le torse de son ancien amant de ses poing. Et brusquement il se calma. Denka passa tendrement ses bras autour de sa taille, l’amenant plus contre lui. Ses lèvres frôlèrent doucement sa joue.

« - Je ne veux pas Denka. Je ne peux pas !...Je t’aime…je ne peux pas…je n’y arriverai pas…
- Je sais mon pauvre ange… »

Sa main souleva lentement le visage d’Erina vers le sien, caressant du bout des doigts la peau mouillée de larmes de ses joues. Leurs visages se reprochèrent lentement et finalement leurs lèvres se touchèrent en un baiser au goût salé.
Un éclair. Le tonnerre. Une main qui glisse lentement…contre le cou, elle suit la courbe de l’épaule, puis du torse…tendrement elle caresse, effleure la hanche…
La foudre…
Sensation de deux peaux qui se frôlent, de lèvres qui se joignent, de deux souffles qui se mélangent. Les lèvres se parlent sans qu’il n’y ait besoin de mots, les langues se lient, se délient, se relient.
La lumière.
Elle éclaire leur peau dénudée, leurs corps qui se tordent. Elle met à jour leur amour et leur douleur. Leur étreinte n’en paraît que plus parfaite…
Le tonnerre…
Un cri qui se perd dans le silence, un autre qui le suit en un écho de plaisir. Des caresses qui se perdent, un baiser qui s’envole pour atterrir quelque part.
L’orage qui fait rage à l’extérieur n’est rien comparé à celui qui a pris place dans leurs cœurs.
Une nouvelle étreinte. Ils cherchent à soulager la peine qu’ils ressentent d’être séparés. Ils tentent de se montrer que leur amour, lui, n’est pas mort.
Ils essayent de garder espoir, de se dire que tant qu’ils s’aiment, tout est encore possible…
Un craquement…un bruit de chute.
Des larmes, toujours des larmes.
Car au fond d’eux ils savent que leur chance s’est brisée, comme cet arbre frappé par la foudre…
Mais eux, ils ne peuvent s’arrêter de s’aimer…

Il est allongé sur le lit, ses doigts se perdent lentement dans les cheveux de son amant. Erina est endormi. Il aime voir son visage si détendu.
Un murmure franchit ses lèvres… Une promesse, murmuré dans la nuit maintenant redevenue calme…

« -Je ne t’abandonnerai pas mon ange…même si je dois t’accompagner chez tes parents. Je te le promets…Je ne ferai pas deux fois la même erreur. »

~

Un éclair.
Il est allongé sur son lit et regarde le plafond, le regard perdu dans le vague. Il ne sait pas quoi faire.
Un soupir, le tonnerre gronde à l’extérieure. Il ne pourra pas aller le voir ce soir.
Un pincement au cœur. Un frisson qui lui parcours l’échine alors qu’il l’imagine endormi.

« Tu as jusqu'à la nouvelle lune pour te décider »

Les mots on été clairs. Sans aucune ambiguïté. C’est à lui de choisir.
Mais que choisir ?
Il revoit son visage.

Un nouveau flash de lumière.
Maintenant il sait ce qu’il doit faire. Il a prit sa décision.
Lui dire ?
Pourquoi pas…
Oui il lui parlera…à leur prochaine rencontre…

Fin du chapitre~

Nioooo Akira-kun.... vais te tuer tu sais éè !! Ta fik est super mais ce chapitre se termine en queue de poisson c'est horrible éè !!!!

Mais je te pardonne car elle est superbe ! Bravo !!

Haaaaaaa
Haaaaaaaaaa >o<

Bon on se calme et on commente...

J'aime beaucoup comment tu as construit l'indécision de Mikaru au début, son débat intérieur est vraiment bien décrit, on sent vraiment ses hésitations, ses craintes, sa reflexion...

On voit ENFIN Ivy ! A quel bonheur (・ω・)/
(XD)

Quant au Erina/Denka...Trop émouvant TT
Oui c'est ca le mot,ce couple est très émouvant et ton lemon est d'une rare beauté !!
Bravo T^T

kyaaaa j'aime trop!!
j'aime beaucoup l'histoire entre Erina et Denka,la phrase qui m'as le plus plu c'était: Les lèvres se parlent sans qu’il n’y ait besoin de mots, les langues se lient, se délient, se relient.
C'est trop zouliment dit

BRAVO!!

J'ai beaucoup aimé moi aussi. J'aime surtout l'ambiance et le cadre :) Continue ^^

rahh le moment entre Erina et Denka il est magique j'e navait les larmes aux yeux. Il est magnifique ce moment.
J'a idu ma la ecrire ce que je pense mais pour faire simple c'est vraiment magnifique, j'adore, non j'aime vraiment c'est parfait.

j'attend la suite avec impatience!

t'es la meilleure ma puce ç_ç je l'ai relue et c'est toujours aussi beau ç_ç vivement la suite!!

...vous allez me prendre pour une folle j'ai reussit a me faire pleuré toute seule en relisant le passage Erina/Denka...

lalala~ quand on est doué hein... on dira rien U_U

Le chapitre 5 ce soir ou demain si je bloque pas stupidement sur un passage~

Non mais c'est normal que tu pleure pour ce que tu as écris c'est vraiment magnifique^^

J'espère que le chapitre sera ce soir,mais j'espère aussi bientôt le chapitre suivant xD

il faut absolument que tu poste le chap avant de partir à Pariiiiiiiiiis >0<

OUIIII c'est clair

Vous z'inquiètez pas, je surveille de près l'avancement du chapitre 5... (・ω・)/
J'en ai même au un extrait, nananananèèèèreuuuuuh~~

Bon vu la vitesse ou j'avance avec de la chance et si ya pas d'imprévue il ets finit ce soir voir même dans l'aprés midi xD

Patience est mére de vertue vous savez xD

mdr je ne connaissé pas cela xD

Ginari a écrit:

J'en ai même au un extrait, nananananèèèèreuuuuuh~~

eeeeeeeeeeeeeeeeeh

eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeh

Citation :

.:Feather:.[(・ω・)/][Malice <3 Emilie <3]dit :
t'en es ou du chap 5??? ^^"""
[†][Akira][ (・ω・)/][Paris J-1/Bordeaux J-12][†]dit :
-_-premiére partie fini
[†][Akira][ (・ω・)/][Paris J-1/Bordeaux J-12][†]dit :
deuxiéme partie commencé
.:Feather:.[(・ω・)/][Malice <3 Emilie <3]dit :
bieeen
.:Feather:.[(・ω・)/][Malice <3 Emilie <3]dit :
je peux avoir un avant gouuut??
.:Feather:.[(・ω・)/][Malice <3 Emilie <3]dit :
*chibi eyes*
[†][Akira][ (・ω・)/][Paris J-1/Bordeaux J-12][†]dit :
nan xD

je crie à l'injustice! il y a du favoritisme!

*pleure*

et la vertu je m'en fous, Sade a assez bien prouvé que ça ne menait à rien xD

ouia c'est vrai ca T_T xD

nan mais je veins de relire et c'est trop triste, ou trop emouvant j'ai pas l'habitude la >_<

mais il faut trop que tu mette la suite avant de partir stp!!

Elle me l'a filé à 3h du mat'... -__-"

ah ouais c'est sur moi je vis pas la nuit encore xD

Dis toi que je me suis couchée à 4h et je me suis réveillée à 13h15 XD

Voilà, c'était la petite vie de moi... (・ω・)/