[Fanfic][Yaoi] Red Moon [ TERMINEE !!!!!]

ahhh la suite ah nan je l'aime tro pce chapitre, il commence a comprendre et mikaru revient je veux trop la suite.

enfin alalalal j'ai cru que j'allais mourir (quand meme pas xD) tellement que j'etais impatiente, j'aime trop, je veux trop la suite Akira.... stpppppp

Muahahahha je sent que la suite sera interessante *OO* !!

xDDDD

:heart: (<-- c'est court mais ça résume bien !)

Donc bah...la suite ?!

(Miyu c'est normal que je buggue sur ta banniere a chaque fois XD ??)

Euh non O__o XDDDD

trop chou ^o^

Citation :

Il sourit. Un sourire franc et heureux. Un sourire comme on n’en voit que sur les visages des amoureux.

:heart:

en plus ça rime xD

C'est bien on commence à comprendre le pourquoi du comment de tout =O

vivement la suite!!

<3333 nyaaaaaaa la suiteuhhhhhhhhh XDDD j'adore toujours autant !!! vivement la suite ^___^

Merci pour ce joli chapitre akirakuuuun *sautilleeeee*

Auteur: Akira
Titre: Red Moon (Merci Ginari-chan <3)
Genre : UA, dépressif and Co* euh…et beaucoup d’amour bizarre -_-‘
Groupe : Dio
Couple : ben on a déjà un Denka/Erina mais il semble compromis pour le moment…oh pis un Kei/Mikaru aussi xD ;
Disclaimer : Ils s’appartiennent ! ;_; sauf Miyako ! ! Ah, ah XD Les parents d’Erina sont à moi aussi…Et les membres du conseil du clan aussi xD
Déclaration de l'auteur : Bon aller le chapitre 9 *___* Je l’attend depuis que j’en ai écrit le scénar XD Bonne lecture~~
Bande son : Gazette, Közi, Within temptation, SuG et Kagrra

Red Moon
Chapitre 9

Un cri retentit dans le manoir. Un cri perçant de femme. Ils s’étaient encore disputés.
Des pas rapides qui passent devant la porte de sa chambre, des claquements de talon. Encore des cris. Quelque chose qui se brise.
Une semaine que cela durait. Le mariage arrivait à grand pas. Erina avait d’abord consentit, non sans beaucoup de larmes, a rencontré quelques femmes, avant d’envoyer tout valser en annonçant qu’il irait seul à la cérémonie.
Annonce qui évidemment avait mis sa mère dans un état proche de la folie. Les jours étaient ensuite passés beaucoup moins rapidement, la mère et le fils les passant à se disputer pour tout et n’importe quoi, mais surtout à cause du mariage.

Denka ne savait pas vraiment quoi faire, il se sentait impuissant devant la détresse de celui qu’il aimait et il n’aimait pas ça.
Allongé dans son lit, il réfléchissait aux solutions possibles, mais elles étaient toutes impossibles à réaliser. Il poussa un soupir.
Quelques coups furent frappés à sa porte. Léger…tellement léger qu’il aurait suffit qu’il bouge pour ne pas les entendre. Il se leva et alla ouvrir la grande porte en chêne qui bouchait l’entré de la chambre pour apercevoir Erina.
Celui-ci se jeta littéralement sur lui, le serrant entre ses bras avec force. Des sanglots agitaient ses épaules si frêles et son visage était trempé de larmes.
Denka recula pour le faire entrer dans la chambres et ainsi refermée la porte avant que sa mère ne repasse par là, puis il serra le jeune homme contre lui en lui murmurant des mots qui se voulaient rassurant.
Sa main passa doucement dans ses cheveux, toujours long malgré les remontrances de ses parents à se sujet, et finalement alla effleurer la joue de son amant. De l’index, il souleva le menton d’Erina et déposa un doux baiser sur ses lèvres avant de lui murmurer à l’oreille.

« - Reste avec moi ce soir mon ange… »

Erina ne répondit rien mais enfouit son visage dans le cou de Denka qui prit ce geste pour un oui.
Lentement, il se détacha de lui, ne laissant bientôt plus que leurs mains solidement jointes. Il l’emmena ainsi sur le balcon, respirer un peu d’air frais lui ferrait sûrement de bien.
Appuyé contre la pierre qui les séparait du vide, Erina fixait un point situé en bas. Ses pleures s’étaient calmés mais ses traits étaient encore marqués par la tristesse. Denka s’approcha de lui et enserra tendrement sa taille entre ses bras. Un baiser dans le cou, un autre dans les cheveux.
Sa main se perd quelque pars sous les vêtements du plus jeune, lui donnant quelques frissons.

« Tu as les mains froides…
- Il paraît que ça attise le désir…
- Je n’ai pas besoin de ça pour te désirer… »

Erina se retourne, unissant leurs lèvres en un baiser moins chaste que le précédent. Puis pose sa tête contre le torse de Denka et soupire doucement :

« J’en ai assez de tout ça…
- Je sais mon ange…
- Denka…au mariage…je veux que
- Chut, ne parle pas de ça Erina. Pas maintenant. Oublie pour ce soir ces histoires de mariage, de prétendantes et tutti quanti. »

Un nouveau baiser empêcha Erina de répondre quoi que ce soit.
Un frisson le parcourut. Pas de plaisir cette fois mais de froid. Denka le sentit et décida qu’ils étaient temps qu’ils rentrent, ce n’était pas le moment de tomber malade…
Quoi que, cela leur aurait au moins permis d’échapper à la cérémonie d’être cloué au lit…non ça n’était pas une solution convenable.
Ils rentrèrent dans la chambre en silence, gardant toujours leurs mains jointes, comme si elles étaient l’unique chose qui prouvait que l’autre était toujours là.
Denka sentait la fatigue de plus en plus présente. Il était plus que temps de se coucher. Il commença à se mettre en tenue pour dormir et invita Erina à faire pareil. Ce dernier hésita, qu’allait dire sa mère en ne le trouvant pas dans sa chambre le lendemain matin ?
Elle avait pris l’habitude de le lever aux aurores pour lui présenter des femmes.
Il lui suffit d’un regard de Denka pour le décider. « Au diable ma mère ». Il se déshabilla à son tour et rejoint son amant entre les draps.

Denka ouvrit les bras et Erina vint s’y blottir. Il y avait si longtemps qu’il n’avait pas dormit contre lui. Il posa sa tête contre son torse, écoutant avec joie son cœur palpitant de vie emplir ses oreilles de ses battements réguliers.
Denka le serra contre lui, déposant parfois quelques baisers sur son visage, avant qu’ils ne partent rejoindre Morphée…

OoO

Lorsqu’il se réveilla le lendemain, ce fut par la voix de Denka qui semblait parler à quelques prés de la porte.

« Non je ne sais pas où il est peut être. Il est peut-être parti faire une promenade a cheval.
-Impossible, il est toujours à l’écurie.
-Et bien je ne sais pas alors mais je ne l’ai pas vu ce matin.
- Si vous le voyiez, envoyez-le moi immédiatement je vous pris.
- Bien madame. »

La porte se referma, et Denka soupira, bénissant celui qui avait disposé la chambre de telle façon qu’on ne voyait pas le lit de la porte.
Il ouvrit les yeux et aperçut Erina assit dans le lit. Il s’approcha de lui et se pencha pour déposer un baiser sur ses lèvres.

« Bien dormi ?
- Oui…Ma mère ?
- oui, elle te cherche…on ferait mieux de ne pas traîner.
- Oui.

Le jeune homme sorti des draps et s’habilla. Une fois prêts, il se rendit dans le salon privé de sa mère pour endurer une nouvelle journée avec elle.

OoO

Et finalement le jour du mariage arriva. Erina arriva seul, comme il l’avait dit, seulement accompagné de Denka. Il entendit sa mère se plaindre durant toute la réception de son manque de bonne volonté à se trouver une femme et de son impertinence. Finalement à bout de nerf, il finit par partir énerver, sous les regards épouvantés de toutes les femmes de sa famille.
Ses pas le menèrent sous un arbre, au bord de l’étant que ses parents avaient fait creuser dans leur propriété. Il entendait encore la musique de l’orchestre animant le bal.
Il cala son dos contre le tronc et laissa échapper un sanglot. Plusieurs longues minutes passèrent avant que des pas derrière lui ne le fassent se retourner. Denka.
Ses yeux s’emplirent de larmes et il se jeta à moitié dans ses bras. Denka le serra contre lui. Il n’avait pas pu s’empêché de venir voir comment il allait. La scène ne lui avait pas échappé. A vrai dire il ne s’attendait pas à autre chose venant de la mère de son amant.
Il attendit calmement qu’Erina se calme et lui dit :

« Je sais que c’est difficile mon ange. Mais on doit retourner là bas. »

Erina acquiesça et essuya ses larmes. Les deux hommes repartirent alors lentement vers la tente sous laquelle se déroulait le bal. Les premières notes d’une valse s’égrenaient lentement. Erina s’arrêta à quelques mètres du bâtiment improvisé. Denka se retourna et lui lança un regard interrogateur.

« Erina ? Qu’est ce qu’il se passe ?
- Je veux…que tu danses avec moi. »

Un ange passa, et Denka poussa un soupir. Il s’attendait à ce qu’il lui demande ça. Il leva la tête vers lui et leurs regards se croisèrent. Un regard plein de détresse, auquel il ne pouvait déjà pas résister en temps normal. Comment dire non à celui qu’on aime de tout son cœur ?
Il lui tendit la main et Erina la prit. Ensemble ils se dirigèrent vers la piste sous les regards étonnés de tous et commencèrent à danser.
Plus personne ne bougeait dans la salle, seuls les musiciens continuaient de jouer. Les notes coulaient doucement, comme un baume calmant sur une blessure douloureuse. Ils dansaient. Ils n’étaient plus qu’eux deux.
La musique s’arrêta finalement. La chanson était finie. Erina leva la tête vers Denka, et leurs lèvres se scellèrent en un baiser

Un murmure s’éleva de la foule de gens présent. De l’étonnement, du dégoût, de l’incompréhension…
Et soudain un cri de pure colère s’éleva. Denka serra Erina plus fort contre lui avant de s’éloigner. Leurs mains, elles, restèrent jointes.
Elle s’approcha et sa main laissa une marque rouge sur la joue de son fils. S’en suivit des larmes et des sanglots, mais pas de celui que l’on aurait pu croire.
Sa voix tremblante s’éleva dans la pièce :

« Comment peux tu….Tu es la honte de la famille Erina. J’avais cru pouvoir te sauver mais je me suis trompée apparemment. »

Son regard était dur, et sa voix remplie de haine.
Erina baissa les yeux sur elle et sa main partie toute seule. Elle tomba, pleura encore et son père se précipita vers elle. Les yeux toujours fixés sur sa mère, le jeune homme parla.

« Tu ne comprendras jamais ce qu’est l’amour, mère. Tu es trop imbue de toi pour ça. »

Il partit, lâchant la main de son amant. Denka resta quelques instant de plus à regarder cette femme se lamenter sur son sort avant de partir sans dire un mot. Sur le chemin, il croisa ses propres parents. Sa mère pleurait, il le savait et il s’en voulait pour cela. Son père lui jeta un regard noir et serra un peu plus sa femme dans ses bras. Il aurait voulu leur présenter des excuses pour cela, il aurait voulu qu’ils comprennent mais il savait que c’était impossible.
A peine a-t-il franchit le seuil de la tente qu’il se met à courir vers le manoir. Qui savait ce qu’Erina pouvait bien faire ?
Il monta les marches aussi vite qu’il put et alla directement dans la chambre de son amant. La porte-fenêtre était ouverte, les rideaux virevoltaient lentement sous la brise fraîche qui s’échappait de l’ouverture. Il avança vers le balcon et entendit des sanglots. Rassurée, il se dirigea vers Erina et le prit dans ses bras.

« Chut mon ange…ça va aller.
- Non. Non, Denka, ça ne va pas aller.
- Tu te doutais bien qu’elle allait réagir comme ça.
- Oui…mais…
- Chut… »

Un ange passa. Erina avait posé sa tête contre le torse de son amant et pleurait maintenant en silence. Denka caressait doucement ses cheveux en le berçant. Puis finalement, Erina parla, brisant le silence qui s’était installé.

« Denka…je veux partir. Emmène-moi loin d’ici. A un endroit où on sera tranquille, où ils ne pourront pas nous retrouver.
- Erina…et Kei ? Il va s’inquiéter…Et où qu’on aille, ils finiront par nous retrouver…mes parents ou les tiens.
- S’il te plait… »

Denka eut un soupir. Leurs regards se croisèrent et il put lire dans les yeux de son amant ses véritables intentions. Une larme perla sur sa joue. Il le savait. Tout aurait été trop beau. Ça ne pouvait finir que comme cela. Il déposa un doux baiser sur les lèvres offertes de son amant et accepta sa demande.

Deux ombres se dirigèrent vers les écuries et partir à cheval quelque part vers l’Ouest, seulement éclairé par la lumière rouge de la lune…

OoO

Il ne l’avait jamais vu aussi heureux. Jamais.
Rien que de penser cela il avait mal. Mal au cœur. Envie de vomir, de pleurer, d’hurler…il savait déjà les raisons de cette joie, il l’avait deviné rien qu’en le voyant sortir de cette pièce.
Il l’avait vu.
Avec un sourire.
Qui ne lui était pas adressé à lui…
Juste un sourire…
Pas pour lui.
A tout hasard, il lui avait demandé. Oui il avait prié tous les dieux auquel il ne croyait pas de l’exhausser, juste une fois. Il ne voulait pas. Non. Il refusait de le perdre lui. Tous mais pas lui.
Il aurait préféré que le monde sombre dans l’apocalypse plutôt que de le perdre.
Mais il lui avait dit. Ils avaient accepté. Il pouvait le faire.

Le jeu était terminé. Ils avaient gagné.

Non. A ce prix là il aurait préféré perdre.
Il se força à afficher un sourire. Murmuré un « je suis content pour toi ». Il part. Prétextant avoir quelque chose d’urgent à faire. Il n’en peut plus, il ne supporte plus de le voir. Il ne veut pas le perdre mais il ne peut rien faire contre.
Les supérieures lui ont donné l’autorisation. Il va le mordre. Ils vont s’appartenir.
Et lui sera seul…

Il entre dans sa chambre.
Il est seul, il sent une larme coulée sur sa joue. Son regard se pose sur un vase.
Il veut hurler, crier autant qu’il peut, pleuré…
En fait…
Il veut mourir.
Plus rien ne le retient ici. Il a fait ce qu’il avait à faire.

Sa main attrape le vase et le jette. Les débris de porcelaines s’étalent un peu partout. Il s’est fait mal mais sa blessure cicatrise tout de suite.
Au fond de lui, il voulait qu’il n’ait pas cette autorisation. Il voulait que l’autre meure. Il voulait avoir Mikaru pour lui seul. Pour toujours…Mais ce n’est pas lui qui l’aurait…
Il brise tout ce qui lui passe sous la main. Le bruit des objets tombants en mille morceaux sur le sol le calme, mais pas assez.
L’image de Mikaru si souriant lui revient en mémoire.
Il hurle, mais personne ne l’entend.
Il pleure, mais personne ne le sait.

Il s’effondre au centre de la pièce, le visage rouge du sang coulant de ses yeux. Les larmes rouges tombent une à une sur le sol. D’abord les minutes passent, puis les heures. Il ne bouge pas, seuls des cris sortent d’entre ses lèvres, entrecoupés de sanglot. Parfois un haut le cœur lui soulève les épaules. Il tousse, pleure encore plus.
Il peine à respirer mais il sait qu’il ne mourra pas de cette façon.

Et finalement il se calme.
Les larmes coulent toujours mais sa respiration est redevenue régulière
Son regard se lève et ses yeux se posent sur l’horloge, quelques minutes seulement avant le jour. Il hésite, essuie les larmes sur ses joues et finalement…

OoO

Le bruit de la mer. Une maison respectable, une banale maison de campagne pour riche bourgeois, mais elle a l’avantage d’être au bords de la mer. Au bord du monde peut être aussi quelque part… Au bord de leur monde.
Un lit vide au drap défait. Les oreillers tachés de larmes séchées.
Une porte ouverte sur l’extérieure…
La porte vers la liberté…

OoO

Quelques pas de plus. Il chancelle, il a perdu beaucoup de sang.
Sa vision se trouble.
Il tend les mains et sans le bois sous ses doigts, puis quelque chose de frais. Il a réussit à l’atteindre.
Ses mains se posent sur la poigné de la fenêtre. Il hésite, est-il vraiment sûr de ce qu’il veut faire ?
Une nouvelle perle de vie coule sur sa joue.

Sa main tourne la poignée…

OoO

Un sentier par delà porte de la maison. Au loin, on peut apercevoir les flancs escarpés d’une falaise.
On est au bord du monde.
Deux forment sont debout dans le soleil levant, tendrement enlacé.
L’un pleure, l’autre réconforte. Les deux ont des souvenirs plein la tête…
Souvenir d’une nuit…d’une dernière nuit. Beaucoup trop courte, beaucoup trop douloureuse.
Souvenir d’un amour qu’ils savaient difficile…impossible.
Souvenir d’un dernier baiser au goût de larmes…

Doucement, ils se séparent. Ils ne restent que leurs mains qui les relient.

OoO

La fenêtre est ouverte, il ne reste que les volets. Dernier rempart entre lui et la fin de sa vie.
Ils sont vieux, et il y a tellement longtemps que personne ne les a ouvert qu’il doit forcer pour les faire céder. Cet effort lui fait tourner la tête, encore un peu et il tombait sur le sol.
Finalement, ils cèdent violemment et claquent contre les murs de pierre du château qui les abrite.
Ses yeux se ferme mais le soleil n’est pas encore la. Il soupire et attend…il n’a que ça à faire de toute façon…
Doucement, la chaleur vient sur ses joues…

OoO

Ils n’ont pas pu résister…un dernier baiser, juste un.
Un regard plein de larmes, un sourire triste mais finalement, plus heureux qu’auparavant.
Ils savent que ce monde n’est pas pour eux. Leur seul regret est de ne pas avoir pus dire à Kei, à quel point ils l’aimaient. Ils ont tous les deux laissé une lettres à son intention. Ils savent qu’on finira par les chercher dans toutes les résidences de leur famille, ils ont posé les lettres en vue, sur la table.

Ils sont encore loin du bord.
Un soupir.
Un pas de plus vers le vide.

OoO

La chaleur monte, le brûle.
Sa peau se désagrége il le sent. Quelque part il a peur, mais c’est trop tard et il le sait. Il ne reculera pas.
Il retient un hurlement de douleur, il ne veut pas qu’on l’entende, il ne veut pas être sauvé.
Ses yeux se ferment, il se force à rester calme. Une dernière larme qui disparaît aussitôt sous les rayons du soleil de plus en plus nombreux.
Quatre mots murmurés une dernière fois…

« Je t’aime Mikaru »

Et le soleil se lève…

OoO

Un dernier regard, trois mots murmurés, deux mots répondus.
La pression des mains qui s’accentue, un sanglot, un soupir, quelques larmes.
Un rayon de soleil, un autre…
Un pas, le vide…

Et puis plus rien.

Fin du chapitre…

J4avais prévenue que vous alliez me haïr -_-
Oh pis merci à ma yôko de me l’avoir corrigé <3

J'ai du le coupé en deux, il était trop long ça tenait pas en un -_-

Je ne peux pas t'en vouloir je connaissais déjà la fin de ces deux histoires donc bon mais ça m'a fait une boule à l'estomac en le lisant quand même *câline Akira kun*

nyuuu super ^^ en plouch c'est tout bien décris et tout bravo^^

T_T ah non j'ai les larmes aux yeux c'est trop triste. la faut une fin heureuse pour Mikaru et kei sinon je vais me mettre a pleurer. J'adore ta fic je pourrais te le dire cent fois je crois.
C'est horrible pour Denka et Erina ah faut plus que j'y pense car je vais commencer a pleurer.

j'attend vite la suite^^

et tu tue Kei et Mikaru aussi? XD
ok je suis méchante -____-'

veux la suite ^_^

T_____T nan mais pourquoi ils sont mourus hein???!!!!

c'était trop beau ^_^ et j'adore comme toujours <3

vivement la suite en esperant quand meme une fin un peu plus 'joyeuse' XDD

naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan t'as tué Denka et Erinaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa T___________________________________________________T

et Ivy aussi, mais il avait qu'à etre moins possessif ou dire à Mikaru qu'il l'aimait >_>

bon vivement la suite (fin), qu'on voie si c'est plus heureux pour Mikaru et Kei!

Ahhh, tu veux tuer Kei?? :"(
J'espère que Mikaru va venir le sauver :D
Suitee ^^

T_T la suite Akira, nan mais je croyais trop avoir la suite la >_<

La suiteeeeeeeeeeeeeeee

Bon la bonne nouvelle c'est que j'ai commencer a taper le chapitre xD
la mauvaise c'est que je l'ai pas encore ecrit en entier...

mais j'essaye de finir ça dans le week end é_è

u_u j'ai cru que t'avais oublié que t'avais cette fic XD

nan nan absolument pas XD j'ai aps eu le temps avec les cours c'ets tout -_- mais j'en ai un peu plus d'une page de taper là >_<

avec de la chance vous l'aurez d'ici dimanche -_-;

esperons alors ^_^
moi je tapote la mienne le plus possible car après j'aurai plus le temps de le faire donc autant m'avancer =)

on est dimancheeeeeeeeeeeeeeeee xD allé Akira dis moi que tu l'as tappé????? stppp

ET OUI
LES MIRACLES EXISTENT !!!! XD

VOILAAAAAAAAAAA

je dédis ce dernier chapitre a yôko qui ma soutenue pendant son ecriture et pour qui j'ai laisser cette fin dont je ne suis pas entiérement satisfaite parce qu'elle l'aimait beaucoup ^^ (comme ça si elle vous palit pas vous savez qui aller taper xDDDDD)

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Auteur: Akira
Titre: Red Moon
Genre : UA, dépressif and Co* euh…et beaucoup d’amour bizarre -_-‘
Groupe : Dio
Couple : …on avait un Denka/Erina……et on a toujours un Kei/ Mikaru…
Rating : [+16]
Disclaimer : Ils s’appartiennent ! ; _; sauf Miyako ! ! Ah, ah XD Les parents d’Erina sont à moi aussi…Et les membres du conseil du clan aussi xD
Déclaration de l'auteur : Chapitre 10 ! On voit enfin le bout du tunnel ><. Désolé pour l’attente, avec les cours j’ai pas pu aller plus vite é__________________è Gomen nasai ; _ ;
Bande son : rentrer en soi, kagrra, SuG, Alice nine, …pis plein d’autre truc -_- ;

Red Moon
Chapitre 10

La nuit était tombée depuis plusieurs heures. Longues, tellement longues.
Il était assis sur son lit, les yeux rivés sur la porte fenêtre éclairée d’une lueur sanguine par la lune haute dans le ciel.
Des questions venaient à lui, incessante, si effrayante. Et si il ne venait pas, et si il avait tout rêver ? Et si il lui avait menti depuis le début ? Et si il avait mal compris son message…
Et si…
Et avec des Si on referait le monde…
Il se forçait à penser à autre chose, mais tout le ramenait inexorablement à lui, a tout le mystère qu’il l’entouraient encore, a toutes les frayeurs qu’il ressentaient quand il pensait à lui, et a tant d’autre chose encore qu’il en avait le vertige.
Que se passera t’il quand il sera là ? Encore une question sans réponse…mais d’un certain coté, il ne voulait même pas savoir la réponse à cette question là. La connaître le mettrait face à une réalité dont il avait peur et a laquelle, quelque part, il ne voulait pas croire.
Mais au final, ce qui l’obsédait le plus, c’était cet atroce manque, cette solitude qu’il ressentait encore plus intensément depuis qu’il avait lu ce papier.
Il ne comptait plus les nuits d’insomnie à espérer le voir apparaître, les soupirs et même les larmes qui montaient si facilement ces temps ci. D’autant plus que les dernières nouvelles d’Erina et de Denka qu’il avait eu datait d’il y a plusieurs jours…
Il avait reçut une lettre d’Erina lui racontant qu’ils étaient chez ses parents et que, de toute évidence, tout ne se passait pas bien.
Mais cela remontait à presque dix jours…et depuis, il n’avait eu plus aucune nouvelle.

Son regard se déplaça vers la fenêtre. Elle était ouverte et le vent faisait légèrement volé les rideaux. Il ne la fermait plus depuis longtemps…
Il reste quelques temps ainsi, puis il se sens lentement glisser sur le coté. Il tente de lutter, mais la fatigue est la plus forte…
Il y a si longtemps qu’il n’a pas fait une nuit complète et reposante…
Ses yeux se ferment…


Un bruit.
Léger, mais présent…quelques part derrière lui.
Il garde les yeux fermés. Doucement, il sent le matelas s’affaisser sous le poids d’un corps.
Cela s’approche.
Une caresse fraîche le long de son bras qui n’est pas sous la couverture. Un baiser qui remonte de sa main vers son cou. Ces baisers le font frissonner, mais il se force à ne pas bouger. Il veut en profiter, le plus longtemps possible…juste sentir ce contacte si doux…
Les lèvres contre sa peau se déplacent. Du cou elles sont allées effleurée les joues, les lèvres. Kei c’est tourné sur le dos.
Mikaru au dessus de lui a planté ses yeux dans les siens. Une langue taquine bien caresser doucement ses lèvres.
Une demande, une réponse favorable.
Le baiser devient langoureux, si plein de sentiment contradictoire qu’il en devient désordonner, presque désagréable. Ils se séparent et se regarde, pour mieux se retrouver en un nouveau baiser, plus calme, moins combatif…
Kei c’est relevé, ses bras son venu entouré la taille de Mikaru pour l’empêcher de partir. Il le veut, la, pour toujours. Le quitter maintenant équivaudrait à mourir sur le champ.
Ils se séparent à nouveau. Mikaru le regarde dans les yeux, il semble hésité. Kei tressaille en le sentant finalement se pencher vers lui.
Le vampire frôle la peau fine et fragile du cou de son amant de ses lèvres. Les lèvres caressent, elle ne font qu’effleuré, puis elle s’entrouvrent. Le bout de sa langue vient frôler la peau sensible, et Kei ne peut retenir un long frisson de plaisir.
L’espace entre les deux lèvres s’écarte encore en un sourire étrange, laissant apparaître les deux canine, longue et aiguisée. Si pointue qu’elles n’auraient aucune peine a percé la chair tende du cou du jeune homme. Ses mains viennent se poser sur les bras de Kei, il tremble…
Mikaru arrête la son mouvement, ses yeux reviennent se placé en face de ceux de son amant. Kei baisse la tête et laisse échappée un murmure paniqué.

« Mikaru…je…
- Ne t’inquiète pas.
- Si je m’inquiète ! Je…
- Chut. » Il posa un doigt sur les lèvres de Kei. « Tout va bien se passer. »

Un mouvement un peu brusque. Kei recule, s’éloigne du vampire autant qu’il le peu, même si ce mouvement lui arrache le cœur. Celui-ci lui lança un regard blessé. Il ne lui faisait donc pas confiance ?
Il avait pourtant tout fait pour que tout ce passe bien, il avait même réussit à obtenir de ses chef de le mordre lui-même, quel que soit le temps que cela prendrait ! Il avait pris soin de le laisser tout découvrir petit a petit, afin d’évité un trop grand choc
Mais de toute évidence, cela n’avait pas suffi ! Que devait il donc faire pour effacer cette peur qu’il voyait flamboyer au fond de ces yeux ?

Kei s’en voulait. Il se doutait bien que son attitude avait fait du mal à son amant, mais il ne pouvait pas s’empêcher de ce demander ce qu’il allait se passer, ce qu’il allait lui faire…et puis…
Ses pensées furent coupées par Mikaru qui lui demandait d’une voix froide…trop froide…

« - Kei…répond moi franchement…es tu prêt à venir avec moi pour toujours ? »

Le blond ouvrit la bouche mais aucun son n’en sortit. Que devait il répondre ? Oui ? Non ? Et sa sœur alors ? Il ne pouvait pas l’abandonner ! Il s’y refusait. Elle était tout ce qu’il lui restait, il ne pouvait pas la laisser seule maintenant.

« - …et Miyako ? »

Malgré le noir, il pu distinctement voir le vampire lui sourire…ce sourire si envoûtant, qui lui donnait des frissons.

« Ne t’inquiète pas pour elle »

Une frayeur, Une peur qui lui noua l’estomac à mesure que son cerveau analysait les mot que venait de prononcer Mikaru. Sa voix tremblait alors qu’il lui demandait des explications. Que voulait-il dire par la ? Que lui avait il fait…
Quand arrêterait-il donc de lui parlé par énigme…

« - Je t’ai dit de ne pas t’inquiéter pour elle. Il ne lui arrivera rien de grave. »

Quelque chose dans la voix de Mikaru avaient convaincu Kei qu’il lui disait la vérité. Pourtant, la peur était toujours là, comme un bourdonnement sourd et incessant prenant peu à peu le pas sur la mélodie si envoûtante de l’amour…

« Mikaru…Explique moi. Tout »

Un soupir long et fatigué s’échappa des lèvres de l’immortel.

« Il était une fois un pays, où vivait des vampires…
- Je connais la légende ! Je l’ai lu.
- Alors tu n’as rien à comprendre.
- Cela veut dire que…
- Oui. Le jeu est terminé. Miyako doit être en train de se préparer à partir au château »

Kei pâlit à cette annonce. Sa sœur….un vampire…

« Je ne te crois pas… »

Il sentit une main agripper la sienne et le tiré en dehors du lit.

« Je me douterais que tu dirais ça. »

Mikaru l’emmena jusqu'à la chambre de sa sœur. Devant la porte, Il demanda à Kei d’ouvrir la porte. Le jeune homme attrapa la clef pendue autour de son cou et l’inséra dans la serrure Il y eu un déclic, et il ouvrit la porte.
Un sursaut.
C’est un rêve ? Tout ceci est un rêve… Il va se réveiller.
Dans la chambre, deux formes sont debout, l’une prés de la fenêtre, comme si elle attendait un signal, l’autre elle, est debout devant le lit. Sa silhouette fine et élancée est seulement recouverte par une légère robe de nuit. Ses cheveux long, d’un blond si clair semble scintillé dans la lumière de la lune qui passe par la fenêtre.
La formes se retourne et on peut parfaitement voir un sourire s’affiché sur son visage…

Miyako debout, Miyako sur ses jambes…Miyako qui marche, courre vers lui…le sert dans ses bras…
C’est un rêve, tout cela n’est qu’un rêve…
Le frère et la sœur restent un long moment serrer l’un contre l’autre. L’un pleure l’autre rit.

Mikaru s’approcha d’eux et posa une main sur l’épaule de Miyako qui s’écarta de son frère pour adresser un signe de tête au vampire. Elle déposa un baiser sur le front de Kei et fit quelques pas encore incertains vers la fenêtre où l’attendait l’autre vampire.
Mikaru fit un signe à l’autre, lui indiquant qu’il pouvait partir, qu’il s’occuperait de Kei lui-même.
Et ils disparurent.

Kei resta les yeux fixés vers la fenêtre où quelques secondes encore se tenait sa sœur. Ce furent les mains de Mikaru posé sur ses épaules qui le firent revenir à la réalité. Il sentit vaguement qu’il le ramenait vers sa chambre mais le choque était encore trop grand pour qu’il réalise réellement ce qu’il se passait.
Mikaru le fit s’asseoir sur son lit, et il cligna des yeux.
Un murmure.

« Mikaru…je…
- Chut … »

Le vampire s’agenouilla devant son amant pour déposer un doux baiser sur ses lèvres. Kei se laissa faire, repoussant cette peur qui le prenait toujours à l’estomac. Ne pas y penser, juste profiter…
L’immortel rompit le baiser et sourit à son amant. Un sourire qui se voulait rassurant. Avec des mouvements doux, il le fit s’allonger sur le lit.
Sa main caressa doucement sa joue, effleurant les lèvres, le cou du bout de ses doigts, détaillant chaque détail de son visage.
Ses lèvres effleurèrent son cou, faisant frissonner Kei autant de peur que de plaisir.
Le blond se sentait de plus en plus effrayé, quelques larmes se bousculaient dangereusement au bord de ses yeux. Il ne fallait pas que le vampire les voie. Il ne fallais pas…
Il ferma les yeux et se força à profiter des caresses de son amant. Ses mains effleurait à présent doucement ses flancs, puis ses abdominaux, les détaillant doucement, effleurant comme de légères brises la peau sensible de Kei qui laissa échapper un gémissement.
Un baiser sur la peau nue de son torse, suivit d’un second. Des dents qui mordillent doucement les endroits sensibles.
Des mains qui descendent, plus toujours plus.
Et une peur qui monte, toujours plus.

Un nouveau baiser. Kei se donne tout entier dans ce contacte, il veut extérioriser cette peur dont il ne veut pas. Il veut avoir confiance en son amant, il sait qu’il peu, mais quelques chose en lui l’en empêche.
Les caresses du vampire descendent toujours plus bas, insensible à cette peur qu’il sentait pourtant en Kei. Ne pas s’attendrir, il devait le faire, tout irait mieux après. Il le savait.
Les doigts de Mikaru passèrent doucement sous le tissus du sous vêtement du blond, lui arrachant de nouveau soupir.
Doucement, il fit descendre le mince morceau de tissus. Il déposa un nouveau baiser sur les lèvres de son amant et remarqua ses yeux fermés.

« Kei…regarde-moi…s’il te plait. »

Le blond ouvrit les yeux et croisa le regard de son amant. Il était si sur de lui…si beau…si dangereusement beau…
Au fond de lui, il savait qu’il pouvait lui faire confiance. Après tout, ce n’était pas la première fois qu’il faisait l’amour…
Mikaru laissa sa mains caresser doucement les cuisses de Kei, sans quitter son regard des yeux. Le blond hésita, et finalement accéda à la requête de son amant.
Ne pas avoir peur, juste profiter du moment présent.

Un murmure qui résonne dans la nuit.
« Je t’aime ».
Des murmures, des gémissements. Des caresses. Une peur qui s’évapore à mesure que monte le plaisir.
Des mots articulés, des cris. Des baisers, des promesses.
Deux corps qui se laissent tomber doucement sur le matelas. Transpirants, haletants.

Un murmure.

« Kei ? »

Pas de réponse, juste une respiration qui tente de redevenir régulière. Le blond avala sa salive et finit par répondre après de longues secondes de silence.

« Oui.
- Il est temps.
- …
- Il est plus que possible que tu ais mal. »

Un regard qui se plonge dans le sien. Un regard dans lequel on peut lire qu’il sais qu’il n’a pas le choix.
Mikaru s’approche, dépose un long baiser sur les lèvres de son amant, auquel il répond sans hésiter. Puis les lèvres se déplacent, caressent la mâchoire, descend vers le cou…

Des dents qui s’enfonce dans la chair palpitante. Un cri. Le sang qui coule doucement Le vampire tente de garder son sang froid, ne pas tout boire, ne surtout pas tout boire.
De longues seconde passes, il sent la vie s’échapper doucement du corps de son amant, une larme coule sur son visage.
Il s’arrête, recule violement du corps dans lequel il ne reste plus qu’une étincelle de vie.
C’est à son tour d’avoir peur.

Il doit faire vite.
D’un mouvement brusque, il se mort de poignet. Il l’approche de la bouche de Kei et fait couler le sang entre ses lèvres. Une seconde passe, une autre.
Il a peur, et si cela ne marchait pas ? Et s’il l’avait tué ?

Encore d’autre secondes.
Interminable.
Il est sur le point de succomber aux larmes et d’éloigner son poignet lorsqu’un bras vient se saisir du sien pour l’apporter violement à ses lèvres et le mordre pour en aspirer le sang.
Un bras vient se passer autour de sa taille pour l’attirer plus prés. Et bientôt, Kei lâche le poignet engourdit de son amant et tourne son visage vers lui avec un sourire.
Mikaru sourit. Il se penche et dépose un baiser sur les lèvres ensanglantées de son amant.

Ils aiment le goût du sang.

Owari

Oh mais espèce de salle missaaante XD !!
Si je me fais taper on se voit pas d'abord :p !!!!
Et moi je l'aime d'abord cette fin >__<
Elle est très bien même si c'est la fin éè

nyaa trop bien ^^ génial ^^ j'aime bien la fin ^^