[Fan fic - Yaoi - PWP /!!\] Dans la boite

Auteur : Akira
Titre : Dans la boite
Genre : PWP, Romance un peu quand même…et lemon (a chier mais lemon quand même -_-‘) One Shot
Groupe : Dio~
Couple : Kei x Mikaru !
Disclaimer : le chiot est à Mikaru, et les autres s’appartiennent à eux et à leurs mères xD
Déclaration de l’autre : C’est la faute à Mikaru~

Dans la boite

Tout avait commencé très simplement. Il y avait un sourire, puis une certaine complicité et finalement ils avaient commencé à sortir ensemble. Les autres avaient eu un peu de mal à s’y faire, mais après tout s'ils étaient heureux, tant mieux pour eux hein ?
Finalement, tout se passait pour le mieux, les heures, les jours puis les mois s’étaient écoulés sans qu’ils s’en rendent compte véritablement. Ils avaient fait leur possible pour que leur relation n’interférent pas sur le groupe et leurs amis les en remerciaient.

Ce soir là, ils fêtaient leur 6 mois.
La soirée avait commencé, d’abord tranquillement. Ivy, Denka et Erina étaient venu fêter ça chez le chanteur. La boisson tournait, lentement mais sûrement, les rires se faisaient entendre dans le salon de Mikaru qui commençait à se dire que les voisins allaient finir par se plaindre s'ils ne se calmaient pas un peu.
Kei et Ivy s’étaient lancés dans un check up complet de tous les déboires que le groupe avait du affronté à leur début. Les fausses notes, les voix cassées, les cassages de gueule au beau milieu des concerts…

« - Je me suis promis de plus jamais remettre des talons aussi grand après ça ! » s’exclama Erina après que l’on au raconté une anecdote devenue célèbre de l’une de ses plus belle gamelle pendant un photoshoot.

La soirée s’étendait en longueur. Mikaru remarqua que Kei commençait a piqué du nez sur le sofa. Un rapide coup d’œil a la pendule lui indiqua qu’il était prés de trois heure du mat' et que son cher et tendre avait plus d’une raison de vouloir dormir. Il jugea que ses amis étaient encore assez frais pour pouvoir se ramener tout seuls et la soirée se termina comme elle avait commencé : Dans la joie et la bonne humeur.

Un long soupire s’échappa d’entre les lèvres du chanteur alors qu’il refermait la porte derrière le dernier de ses amis. Il adressait une prière muette au dieu qui voudrait bien l’écouter de faire en sorte qu’ils rentreraient entier chez eux et en bonne santé quand il sentit deux bras entourer sa taille et des lèvres venir chatouiller son cou.

«- Je croyais que tu étais fatigué…
- Jamais quand tu es prêt de moi Koibito…
- Avoue que c’était juste pour les faire partir.
- Oui je te voulais tout à moi. »

Mikaru se tourna vers son petit ami et déposa un tendre et chaste baiser sur ses lèvres. Kei eut un sourire. Il attrapa sa main et le tira vers le salon.

« Qu’est ce qui se passe Kei Kun… »

Le guitariste ne lui répondit que par un petit sourire en coin plein de sous entendu. Mikaru arqua un sourcil, que mijotait son grand baka d’amant encore une fois…
Kei le fit s’asseoir dans le canapé et lui dit :

« Tu m’attends ici deux minutes, je reviens. »

Et il planta Mikaru là. Le chanteur resta un moment a regarder le plafond, se demandant de plus en plus à mesure que le temps passait ce que Kei avait bien pu avoir comme idée étrange cette fois ci.
Finalement, il entendit son guitariste revenir…une étrange boite à la main.

« Une boite ? » demanda t’il.
« - Pas n’importe quelle boite ! Une boite….avec quelque chose dedans !
- Mais quoi…
- ça c’est à toi de le découvrir ! »

En voyant le sourire niait de son amant, Mikaru ne pus s’empêché d’explosé de rire. Et ce qui devait arriver arriva, Kei se mit à bouder.

« Puisque c’est ça je le garde pour moi na ! »

C’était sans compter le don de persuasion du chanteur qui se leva et passa lentement ses mains sous le court t-shirt de son amant, caressant doucement la douce peau des abdominaux de se dernier. Finalement Kei craqua et lui donna la boite sans discuter plus longtemps.
Mikaru attrapa la boite…qui avait des trous sur les cotés et se rendit compte qu’elle pesait un certain poids. Il retourna s’assoire sur le canapé, bientôt suivit du grand blond qui n’aurait raté sa réaction pour rien au monde.
Mikaru s’installa et déposa la boite sur ses genoux. Lentement, il commença a soulever le couvercle et découvrit…

« Kei ! Il est trop mignon ! »

Un chiot.
La petite bête ouvrit de grands yeux candides et regarda son nouveau maître. Un petit jappement. Mikaru le pris dans ses mains. L’animal tenait dans le creux de l’une d’elle tant elle était petite ! Il la déposa sur ses genoux et gratouilla sa petite tête. L’animal n’en attendait pas plus pour se sauver. Il commença à courir partout - surtout sur leurs jambes en fait - avant de se retrouver…les fesses par terre.
Il secoua la tête avant de recommencer à courir, profitant qu’on ne lui disait rien pour découvrir un peu son nouveau chez lui.
Et pour cause qu’on ne lui disait rien ! Son maître était …disons…très occupé.

Mikaru avait d’abord regardé avec intérêt les ébat de son nouveau compagnon, mais une main passée sous son t-shirt l’avait persuadé de tourner la tête vers Kei qui n’attendait que ça pour souder leur lèvres en un long et langoureux baiser. Kei avait d’ailleurs entreprit de faire glisser Mikaru sur le sofa lorsqu’il sentit quelque chose tirer son bas de pantalon…
Le chiot…
Le guitariste se demanda alors si son idée avait été aussi bonne qu’elle ne lui avait paru sur le coup…
Il poussa un soupir et dit à Mikaru en le regardant droit dans les yeux.

« - Mon cher cœur, je crois que ton nouvel ami a faim.
- Je crois aussi…mais j’ai rien à lui faire à manger…
- Je suis passer au combini avant de venir et je t’ai ramené de la pâté~
- Quelle prévoyance !
- N’est ce pas…
- Allez, dépêche toi que l’on puisse reprendre là ou on s’est arrêtés… »

Kei avait un regard plein de sous entendus et c’est ça plus que les petits jappements du chiot qui le persuada de donner très vite à manger à la bestiole qui courrait autour de leurs pieds.
Mikaru se dirigea vers la cuisine ou Kei lui avais dit avoir déposé la nourriture pour le chien et sortit une petite assiette ou il déposa le contenu de la boite.
Il lui posa dans un coin et retourna dans le salon ou Kei…n’était plus. Son sourcil s’arqua une nouvelle fois quand il sentit deux bras entourer sa taille.
Il se tourna et son visage s’éclaira d’un grand sourire. Kei sourit à son tour et le lâcha pour mieux le porter comme une princesse jusqu'au lit.

Bientôt les mains effleurèrent les peaux dénudées de tout vêtement et les baisers se firent plus entreprenant. Kei passa ses mains sur la peau pâle et souple du torse de son amant, jouant avec chaque détail de son corps, le faisant frissonner à chaque fois qu’il effleurait un point sensible. Le guitariste commença a lentement faire glisser sa langue le long de ce torse si appétissant, en savourant chaque parcelle, faisant naître des gémissements de plus en plus fort à mesure qu’il descendait vers l’endroit ou il commençait à être attendus. Zone malheureusement toujours recouverte de tissu...
Mikaru se cambra, supplia, menaça…bref, demanda de toutes les façons possible à son amant de continuer mais celui semblait d’humeur joueuse ce soir là.

« Montre moi…de quoi tu es capable »

Quelques mots qui firent comme une décharge électrique au chanteur.
Kei se redressa, on pouvait voir les muscles de son torse fin joués sous sa peau, faisant frissonner Mikaru dont le regard caressait chaque parcelle de peau découverte.
Le guitariste releva la tête et leurs regards se croisèrent. Il avança tranquillement, à quatre pattes sur le lit, se plaçant lentement au dessus de Mikaru qui sentait la chaleur monter d’un cran à chaque pas que faisait son amant.
Leur visages ne furent bientôt plus qu’a quelques centimètre l’un de l’autre, leur lèvres se frôlèrent, se caressèrent sans réellement se toucher, et finalement se scellèrent quelques temps. Puis les baisers se décalèrent, séparent leurs lèvres. . Kei embrassa d’abord la mâchoire…puis le cou…
Quelques mordillement, un coup de langue par ci par là…il suit la clavicule, puis descend plus bas. Il frôle la peau qu’il sent brûlante sous lui.
Finalement, à bout de nerfs, Mikaru se redresse. Il le pousse, le plaque contre le matelas. Les rôles sont inversés, c’est lui qui mène la danse à présent.
Les caresses sont plus insistante, les baisers plus profond. Les morsures plus douloureuses. Le chanteur devient presque bestial mais il sait que Kei aime ça. Ses lèvres laissent quelques suçons de ci de là sur la peau pâle.
Mikaru finit par s’installer à califourchon sur Kei. Leurs bassins son collés, quelques mouvements, elle est là il la sens contre la sienne. Chaque mouvement qu’il fait ne fait qu’accentuer sa présence
Ses doigts se promènent, caressant, frôlant…ils passent lentement sous la barrière de tissu encore présente entre eux. Kei frissonne, il l’a sent se tendre un peu plus chaque seconde qui passe. Sa respiration devient difficile. Presque douloureuse.
Soudain, Mikaru se relève, provoquant un gémissement de déception chez son amant. Mais c’est pour mieux faire glisser ses mains sous le maigre rempart de tissu restant encore.
Les pantalons ne furent bientôt qu’un mauvais souvenir. Seuls leurs boxers résistaient encore…pas pour longtemps…
Mikaru se pencha, son visage à quelques centimètres de l’entrejambe de son amant. Son souffle caressait le fin tissu la recouvrant encore. Il releva la tête et regarda un instant Kei donc le regard semblait légèrement voilé par le désir.
Le chanteur voulu faire durer encore la torture, il s’approcha de lui, se postant à genou au dessus de sa poitrine. Il saisit les mains de Kei et les posa sur ses hanches, les faisant descendre doucement, emportant en même temps ce qu’il restait de tissus sur son corps. Millimètre par millimètre. Il ne resta bientôt plus rien, et Kei du résister à l’envie de se saisir de cette gourmandise pourtant à porté de lèvres…
Mikaru se rassit sur lui, collant leur bassin l’un à l’autre. Kei sentait le plaisir venir à lui par vague, toujours plus forte, toujours plus dévastatrice. Il le voulait, maintenant…
Mais le chanteur n’était pas de cet avis. Il se retourna soudain et ses doigts passèrent une nouvelle fois sous l’élastique du boxer. Mais cette fois, ci ils allèrent jusqu’au bout de leur entreprise, libérant la meilleur sucrerie que le chanteur connaissait.
Il se pencha vers elle, souffla légèrement, puis la caressa du bout de la langue comme s’il goûtait un fruit défendu. Kei Ouvrit de grands yeux sous cette caresse humide. Mikaru changea de position, donnant à Kei un panorama des plus aguichants.
Un nouveau coup de langue, il la caresse sur toute sa longueur, provoquant des gémissements rauques de la part de Kei Il entend sa respiration saccadée, mais lui, il veut le faire crié.
Il finit par la prendre entière. Il l’a caresse de sa langue, la mordille légèrement, pas trop tout de même il ne veut pas lui faire mal. Kei se cambre, il en veut plus tellement plus ;…mais c’est tellement bon…il aime cette chaleur humide…

« Mik…aru… »

Il murmure en un souffle son prénom. Le chanteur s’arrête, se redresse et se tourne à nouveau vers lui. Kei gémit. Pourquoi s’était il arrêté ?
Mikaru lance vers lui un regard brûlant. Il se penche vers lui et scelle leurs lèvres.
Il colle leur bassin, elles se frottent, aguichent encore un peu. Kei sent qu’il est temps de ré-inversé les rôles. Il sait que c’est ce que le chanteur attend.
Le guitariste s’assoie sur le matelas, le regard du chanteur plongé dans le sien. Un moment de flottement, ils se parlent, s’interroge sur la suite dans ce regard. Finalement, on entend un froissement de tissus, le bruit d’un corps posé doucement contre le matelas, et de nouveau, quelques soupirs.
Kei c’est installé entre ses jambes écartées. Mikaru en gémit Rien que de le savoir si proche. Il n’attendra pas très longtemps encore il le sait mais l’attente est difficile. Ils se collent, se caresse encore un peu. Kei dépose un baiser dans le creux de ces cuisses si tentantes. Un nouveau frisson parcourt le chanteur. Une langue vient chatouiller cet endroit si sensible.
Il voudrait qu’il continue, mais il voudrait aussi qu’il aille plus loin, toujours plus loin…
Il sent une main qui avance lentement mais sûrement le long de sa jambe, d’abord sur le pied, puis le long de son mollet…le creux du genou, sur cette cuisse si sensible…et enfin…
Un gémissement plus fort que les autres, il se cambre, il en veut plus, tout de suite. Il le veut plus profondément, plus vite…maintenant….
Un second gémissement…Il sent une main se poser sur elle, la caresser. Il pousse un hoquet de surprise, il ne s’y attendait pas. Le plaisir monte par vague, toujours plus destructeur. Sa vision se brouille, la chaleur monte encore.
Puis soudain plus rien…
Il sent Kei se penché vers lui, il lui murmure quelques chose à l’oreille…Il sent la peau humide de son torse contre le sien, il aime ce frottement de peau mais il veut plus…
Il sent les mains du guitariste le soulever un peu, il sait que ce qui va suivre ne se pas très confortable mais il s’en fout, il le veut contre lui…en lui…
Une vive douleur le fait soudain pousser un cri. Kei s’arrête, murmure une excuse. Une main se pose sur sa joue. Mikaru esquisse un sourire qui se veut rassurant. Sa main serre les draps, c’est inconfortable, ça l’est toujours au début. Il bouge ses hanches, faisant comprendre au guitariste que tout va bien. Lentement d’abord, Kei bouge. Il ne veut pas blesser son amant. Mikaru pousse un soupir qui se transforme en gémissement. Quelques mots se forment entre les lèvres du chanteur. Kei les comprend et s’exécute. Les mouvements se font plus rapide, plus profond. Et soudain un cri…suivit peu après d’un autre.
Kei se laisse tomber à coté du chanteur. Il a le souffle court mais un grand sourire éclair son visage, ses longues mèches blonde son collé sur son torse par la sueur. Il regarde Mikaru qui a tourné son visage vers lui. Son regard est fatigué mais heureux, lui aussi il sourit.
Il s’approche de Kei, se blottit entre ses bras. Ses lèvres murmure un merci, suivit d’un « Joyeux anniversaire mon amour ». Kei ne répond rien, il se contente de souder leur lèvres une dernière fois avant de ramener les couvertures sur leurs corps.
Un soupir d’aise, et enfin le silence…

~

« Ouaf ! Ouaf ! »

Un poids sur le lit, un truc qui bouge…quelques choses d’humide sur la joue…
Mikaru ouvre les yeux. La première chose qu’il aperçoit ets une chose poilue à quatre pattes qui aboie dans son oreille.
Kei pousse un soupir et enfonce le visage dans l’oreiller.

« Finalement je sais pas si c’était une aussi bonne idée que ça… » Soupir t’il en sentant Mikaru se lever pour aller donner à manger au chiot. « Revient vite koibito…j’ai froid… »

Fin! xD
Alors verdicte?~
Chui pas satisfaite du lemon mais bon j'ai jamais reussit a les écrire comme je voulais je fais un mini blocage U_U

Héhé (・ω・)/

Alors moi, c'est simple, je l'aaaiimeuuuuh !!
Je suis entièrement satisfaite du lemon xD

C'est le deuxième que je lis sur KeiXMikaru, et j'aime encore plus ce couple~

J'aime bien le petit jeu du "c'est moi dessus, non c'est toi.."
Et puis le chiot arrive au bon moment à la fin xD

En fait je couinait toute seule en le lisant XDD
Bon, j'me calme...

Pour conclure je dirais : KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA (^ω^)/

J'aime trop ^o^!!!
Comme d'habitude c'est parfait tit ange hihi ^o^ !!

mon avis:

J'aime, j'adore, je suis fan.....

nan tres reussit raaa et pis leur moment d'intimité j'aime vraiment comment tu les decrit *___* j'en ai le souffle coupé a chaque fois >_<

bravo ^___^

Mon avis : J'ai pas tout lu, juste un passage, soit j'ai choisi le mauvais, soit vous êtes toutes des perverses XD
Mais bon je respecte, vous aimez ce que vous voulez hein :P

Nous sommes toute des perveses =D

Et on est fière d'être perverse^^

Akira ta fic est trop belle^^ super bien décrit

trop bieeeeeeeeeeeeeeen <3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3

j'adore! bravo!

Haaaaaaa >w<

Tu fais des fics d'enfer ce lemon était P.A.R.F.A.I.T !!

J'adore comment ce finit le one shot en plus ôô

Bravo encore une fois ^o^

Whaaaa j'aime beaucoup ce Lemon, mais je trouve la fin de l'acte un peu expédiée trop rapidement ... :D

Ah là là, on est toutes des perverses lol :D

Ben l'explication a ça c'est que j'arrive jamais a écrire ce passage donc ben...je m'en débarasse le plus vite possible en fait xD

Heureuse qu'elle vous ai plu en tout cas ^^

C'est dommage, c'est pourtant le passage le plus important, à part ça le reste c'est nikel, très bien écrit ^^

*0* J'adore !!

Decidement , J'adoooreee le Yaoi xDDDD

*spéce de Perverse va! *

En tout cas j'ai beaucoup aimé ! ^^ Bravo ! ^^

j'adore trop !!!!!! cmment ne peux tu pas aimé le passage du lemn que tu as ecrit !!!! il est formidable ce passage t'en perd pas une miete , c'est vraiment génail !!!! j'aime trop !!!
oui on est toutes des pervers mais je pense qu'on l'assume tres bien XD enfin du moins moi je l'assume pleinement XD