[En cours][Gazette] Entre rêve et réalité

Auteur: Akira
Titre: Entre rêve et Réalité
Groupe : The GazettE
Couple : Ah, ah…
Rating : [+18] pour le premier chapitre, après ça sera moins XD
Genre : Humour, horreur, et plein d’autre truc au fur et a mesure de la fic…
Disclaimer : Il ne m’appartiennent pas ^^
Mot de l’auteur : fufufu, j’espère que cette fic vous plaira ^^ ma première à chapitre sur Gazette ^^
Chapitres : 1/11



Rêve, nom masculin. De rêver, verbe du latin populaire ‘exvagus’ : errant.
Le sens premier de ce mot que l’on trouve dans le dictionnaire est littéralement « production psychique pendant le sommeil et pouvant être partiellement mémorisé », cependant le deuxième sens du mot nous permet d’aborder un second aspect du phénomène : « représentation plus ou moins idéale ou chimérique de ce qu'on veut réaliser de ce qu'on désir »
Selon les philosophes, le rêve serait une représentation aux yeux de notre esprit des objets qui occupent notre pensée.

Le rêve est un phénomène survenant durant notre sommeil, tandis que le corps est physiologiquement au repos et qui fonctionne généralement sur le mode hallucinatoire dans le sens d'une perception sans objet



Réalité, nom féminin. Du latin ‘realitas’.
Définition philosophique : Caractère de ce qui est réel, de ce qui ne constitue pas seulement un concept mais une chose.
Dans la vie de tous les jours, la réalité représente pour nous ce que nous pouvons voir, sentir, toucher. Elle est constituée de tout ce que nos sens nous permettent de percevoir. Elle exclue donc tout ce qui est du domaine de l’illusion, de l’impalpable et de l’imagination.

Ce concept est un des problèmes fondamentaux de la science et la philosophie, mais la détermination de son sens semble être une tâche bien au-delà de nos facultés. La question la plus générale est de savoir ce que nous pouvons tenir pour réel, si une telle chose existe.



A suivre…

Sources utilisée pour rédiger ce prologue : Wikipédia, le petit larousse et le petit robert.

Comme tu le sais, ce petit prologue me plait énormément !
J'ai vraiment hâte de voir ta fik, car je reste persuader qu'elle sera superbe !
Et le thème du rêve est tellement agréable à aborder ! ^^

nyuuuuu j'adore ^^ et j'explique pourquoi xD

L'idée du dictionnaire avec les difinitions est trop bien trouvé ^^

Après je peux pas dire j'aime le couple car je sais pas lequel c'est xD Uruha x Ruki ? comme t'as l'habitude de faire ?!!! Ou alors du changement XD j'attend avec impatience la suite pour savoir cela et pour suivre la réalité ou le rêve ^^

Bon voila le premier chapitre XD

Auteur: Akira
Titre: Entre rêve et Réalité
Groupe(s) : The GazettE
Couple : Ah, ah…
Rating : [+18] pour ce premier chapitre, après ça sera moins XD
Genre : Humour, horreur, et plein d’autre truc au fur et a mesure de la fic…
Disclaimer : Il ne m’appartiennent pas ^^
Mot de l’auteur : fufufu, j’espère que cette fic vous plaira ^^ ma première à chapitre sur Gazette ^^ Les pensées sont en italique ^^
Ce que j’ai pu rire à écrire ce chapitre XDD
Résumé : euh…joker ? XD
Chapitres : 2/11





Ce qu’il fait chaud dans cette chambre ! Je ne me rappelais pourtant pas avoir mis le chauffage…
En même temps je ne me rappelais pas non plus que ma chambre était tapissée de cette couleur…pas que je n’aime pas le rouge hein mais c’est un peu glauque quand même…
Tiens il y a du bruit.

Le chanteur se redressa dans son lit au drap de soie. La porte venait d’émettre un grincement et une forme semblait s’être glisser dans la pièce. Le froissement de tissus des vêtements de l’inconnu provoquait des frisson au blond qui commençait a ce demander ce qu’il se passait.

Je me demande bien qui est entré…peut-être qu’il répondra si je l’appelle ?

« Euh…il y a quelqu’un ? »

Un poids se fit sentir sur l’un des côtés du lit. Les frottements de tissus se faisaient de plus en plus proche. Un bruit de respiration.

Bon sang mais qu’est ce qu’il ce passe !

Quelque chose qui remonte le long de sa jambe…une main ?!

Euh, c’est quoi ce bordel là…

« Qui est là ? » Demanda t’il d’une voix plus forte, légèrement tremblante.

Il sentit un poids contre lui…non sur lui en fait. Qui que ce soit, il semblait se sentir d’humeur joueuse car il senti deux mains taquines commencer à caresser doucement son torse. Puis une voix s’éleva…

« Chut mon doux chaton, ne dit rien et profite.
- Uruha ??
- Qui d’autre… »

La voix était maintenant très près de lui, une langue taquine vint doucement lécher le pavillon de l’oreille. Elle descendit lentement le long de celle-ci avant d’aller se perdre le long de la mâchoire, pour remonter vers les lèvres si appétissante sur lesquelles elles déposèrent un doux baiser.

Euh…il se passe quoi la…je voudrais pas dire mais quand je suis aller me coucher je me rappelle que j’était seul, et qu’en plus je venais de me fâcher avec Uruha, alors qu’est ce qu’il me fait là…enfin pas que ça me déplaise hein, loin de la même mais…non reviens, continue de m’embrasser !

Le guitariste avait quitté les lèvres pourtant si tentante de Ruki pour reprendre son petit chemin le long de son cou, commençant la découverte de ce corps si agréable sous ses lèvres.

Han…c’que c’est bon…vas y descend encore…non j’ai dit descend, la, voilà…euh…mais attend la y a un problème…

Il sentait quelqu’un l’embrasser doucement dans le cou, des baisers doux comme des caresses mais pourtant bien présent. Pourtant à première vue, le guitariste était toujours occupé à lui cajoler les abdominaux…alors…

Bon sang mais il se passe quoi là…

Un doux murmure dans son oreille lui fit ouvrir de grands yeux étonnés.

« Ne t’inquiète pas, laisse toi faire… »

Hein ? Euh…y a un vraiment un problème…je dois être Jeanne d’arc, j’entend la voix d’Uruha dans mon oreille alors que….

Il aurait aimé continuer sa pensée mais des lèvres sur les siennes lui firent oublier jusqu'à son prénom. Il sentit qu’on baissait doucement le simple drap qui le recouvrait. Il sentait Uruha descendre toujours plus vers son bas ventre, et plus le guitariste s’en approchait, plus le chanteur sentait qu’il peinait à respiré. Il sentit qu’on le soulevait et qu’on l’installait sur des jambes de toute évidence dénudées.
Des mains parcouraient son torse, lui procurant milles et une caresses tandis qu’on était toujours en train de l’embrasser.
L’une des mains descendit finalement vers ses fesses et les caressa avant de s’intéresser un peu plus à son intimité.
Il sentait comme un poids qui l’empêchait de respirer tant ces différentes attentions portées à son corps lui procurait du plaisir. Mais l’apothéose quand il sentit la langue du guitariste caresser doucement sa virilité.
A vrai dire, le chanteur ne savait plus vraiment où donner de la tête. La partie de son cerveau encore lucide se demanda comment une seule personne pouvait être à tant d’endroit en même temps.
Ce fut finalement un faux mouvement qui lui apporta la réponse à sa question. Un pied mal dirigé appuya sur le bouton de la lampe de chevet qui s’alluma, et c’est ainsi que le chanteur remarqua qu’il n’y avait pas un, mais bel et bien trois Uruha avec lui dans le lit.
Il n’eut pas le temps de comprendre comment la chose était possible car une nouvelle monté de plaisir effaça toute pensée cohérente de son cerveau.
Uruha n’°1 léchait le membre de Ruki avec une ardeur que le chanteur ne pouvait qu’approuvé, tandis qu’Uruha n°2 s’amusait à lui fait le plus de suçon dans le cou qu’il lui était possible. Quand au n°3, il préparait le chanteur avec soin à son ultime gâterie.
Peu de temps s’écoula avant que le chanteur ne se libère entre les lèvres pulpeuses de son amant n°1 qui lécha précautionneusement la virilité du blond afin de ne pas en perdre une goutte.
Le chanteur ne pu que gémir de déception en ne sentant plus les doigts qui s’occupait si bien de lui, gémissement qui se transforma en cri de plaisir en les sentant remplacé par autre chose de bien plus agréable encore...

BIP, BIP, BIP

hein, quoi…qu’est ce que c’est que ce bruit, chui occupé….pourquoi est ce que ce réveil sonne…hein réveil ?Comment ça réveil ?

Le chanteur ouvrit les yeux et…s’aperçut qu’il était dans sa chambre, dans son appartement…seul.
Un soupir passa ses lèvres et ses yeux se levèrent au ciel en ce rendant compte qu’il était bon pour changer ses draps…encore une fois.
Il sortit lentement du lit et…décida d’aller prendre une douche pour commencer…bien froide…
Ça lui remettrait les idées en place avant la répétition.

Je vais jamais pouvoir le regardé sans rougir…

Un dernier soupir et il entra dans la cabine de douche, réglant l’eau aussi froide qu’il pouvait le supporté.

A suivre~

Bon à savoir que je fais rarement des lemons donc je comprendrais si vous me dîtes qu'il est bof ^^'
Sinon, des impressions? :p

Je vous le met en speed avant d'aller au lit~

mdrr j'aime trop ^^ le lemon est bien décrit ^^ pas chocant ni rien ^^ enfin moi j'aime bien ^^

après le truc de 3 Uruha ça me rapelle qu'Uruha veut se cloner XD

puis bah toujours aussi bien décrit ^^ rien a redire :D

*o* nan mais j'aime trop...pour changer tu vas me dire mais la je susi trop contente c'est enfin une fic de Gazette suis trop nyappy xD

j'attend la suite avec beaucoup d'impatience xD

Auteur: Akira
Titre: Entre rêve et Réalité
Groupe : The GazettE
Couple : hem…XD apparemment Ruki n’est pas indifférent à Uruha…
Rating : [G] lol pour ce chapitre ^^
Genre : Humour, horreur, et plein d’autre truc au fur et a mesure de la fic…
Disclaimer : Il ne m’appartiennent pas ^^
Mot de l’auteur : fufufu, j’espère que cette fic vous plaira ^^ ma première à chapitre sur Gazette ^^
Chapitres : 3/11

[Journée de travail]

« Excusez moi ! »

Le chanteur était entré en trombe dans la pièce ou le groupe répétait habituellement. D’ordinaire quand il arrivait, tout le monde était déjà là et l’attendait plus ou moins patiemment suivant les personnes. Mais là rien. Nada. Que dalle. Il n’y avait personne dans le local.
Il regarda sa montre, pourtant il était –presque- à l’heure…ou alors tout le monde était en retard…
Non, ça impossible.
Mais alors pourquoi n’y avait il personne ? Ne trouvant pas quoi répondre à cette question pourtant existentielle, il alla déposer son sac sur le canapé et replaça quelques mèches de ses cheveux nouvellement teints en brun convenablement.

« Les gars ? Si c’est une blague elle est pas drôle… »

Il tourna, vira, chercha dans tout les coins de la pièce, dans celles qui étaient à coté, au cas ou ils se seraient caché à l’intérieur. Rien. Il devait se rendre à l’évidence, il était seul.
Maintenant le tout c’était de trouvé pourquoi. Il ne s’était pas trompé de jour, il vérifia tout de même sur le calendrier pour le cas où. Il regarda sa montre une nouvelle fois mais non, il était résolument 10h30 et la répétition était prévue pour 10h.
Ou alors il s’était passé quelque chose de grave.
Non, ne pas penser à ça, il y avait forcément une autre raison.
Finalement onze heures arriva. Le chanteur, qui s’était allongé dans le canapé pour réfléchir entendit soudain la porte s’ouvrir. Il se redressa d’un bond pour voir entré Reita, sa basse sur le dos.

« Ruki ? Mais qu’est ce que tu fais déjà là…d’habitude t’arrive avec au moins une demi heure de retard…
- …Bien pour une fois ce n’est pas moi qui le suis de toute évidence. Il est onze heures, cher bassiste adoré. On avaient rendez vous à dix heures je crois bien. »

Reita le fixa un moment. Un très long moment en fait. Tellement long que Ruki commença a se demander si il n’était pas en train de se moquer de lui. Et finalement le bassiste explosa de rire.
Le chanteur lui lança un regard noir. Il avait très mal prit que le blond se moque de lui alors qu’il s’était fait un sang d’encre en ne les voyant pas arrivé.

« Reita. Je te prierais de te calmer et de m’expliquer ton hilarité IMMEDIATEMENT ! »

Le chanteur était en colère et cela se voyait. D’ailleurs, ledit Reita s’arrêta brusquement de rire, sachant très bien que, comme disait l’adage, « chanteur énervé, merde toute la journée ». Il repris son calme en respirant calmement et finit par dire, retenant son fou rire.

« Tu…sais qu’on a changé d’heure hier ? »

Changer d’heure ? Le chanteur alla jusqu'au calendrier et regarda le petit symbole imprimé sur un des cotés du morceau de carton. En effet, ils étaient passé à l’heure d’hiver…il n’était donc pas 11h mais…

« 10 h… »

Le chanteur poussa un long soupir et regarda Reita qui riait encore sous cape.

« »Oui, bon ça va. Ça arrive à tout le monde hein…»

Reita se dirigea vers son ampli, riant toujours comme un bossu. La porte s’ouvrit nouveau pour laisser entrer Aoi et Kai qui se tenaient par la main. Ceux-ci regardèrent Ruki avec étonnement, se demandant sûrement la raison de sa promptitude inaccoutumée. Ils se sourirent et échangèrent un rapide baiser avant que le batteur ne ressorte de la pièce pour aller voir le manageur…
Le chanteur leur lança un vague bonjour avant de s’affaler dans le canapé et de sortir des feuilles gribouillées de noir et de kanji. Sûrement les paroles d’une de leurs prochaines chansons. Reita, vérifiant que le blondinet était suffisamment occupé pour ne pas entendre ce qu’il disait, s’adressa à Aoi qui était en train de déposer ses affaires et celles de Kai dans un coin de la pièce.

« Il a oublier de changé l’heure hier soir…
- Tout s’explique » s’exclama Aoi qui affichait à présent un sourire moqueur. « Uruha n’est pas encore arrivé ?
- Non, c’est étrange, en général il est le premier là.
- Il a échangé sa place avec Ruki ! Ils se sont cognés la tête et leurs personnalités se sont interverties ! »

A peine avait-il prononcé ces mots que la porte s’ouvrit, laissant apparaître un Uruha essoufflé, les cheveux dans tout les sens, les vêtements débraillés. On aurait dit qu’il avait couru un marathon en étant poursuivit par une horde de sangliers sauvages déchaînés.

« Je…Je…Je…suis…Désolé…J’ai…rater mon bus… »

Il y eut un instant de flottement ou tout le monde le regarda avec étonnement et finalement Reita déposa sa basse et s’approcha de lui.

« - Calme toi Uru-kun, respire, ce n’est pas grave. Mais tu ne viens pas en voiture d’habitude ?
- Si…mais elle est au contrôle technique… »

Le Guitariste balança son sac dans un coin et déposa sa guitare sur son socle avant de se laisser tomber comme une masse à coté de Ruki et de fermer les yeux, la tête rejetée en arrière. Lentement, il se laissa glisser plus ou moins volontairement vers lui et finit par être calé contre son épaule. Le chanteur sursauta et ne pt s’empêcher de rougir en repensant à son rêve.
Ce détail n’échappa ni à Reita ni à Aoi, qui avaient des doutes, qui ressemblaient de plus en plus à des certitudes, sur les sentiments que le chanteur avait pour le guitariste.
Ils échangèrent un regard entendu. Ils devaient faire quelque chose pour ces deux la.
Plusieurs minutes étaient passées depuis l’arrivée d’Uruha, et celui-ci semblait de plus en plus proche de se redormir sur l’épaule de Ruki, voir plus bas si il glissait. D’ailleurs, le chanteur avait de plus en plus de mal à se concentrer à mesure qu’il le sentait glisser de son épaule.
Et finalement Uruha se retrouva allongé, la tête posée sur les genoux de Ruki, dont les joues rivalisaient avec une tomate bien mûre. Reita et Aoi attendaient de voir ce qu’il allait se passer avec impatience, mais le bruit de la porte qui s’ouvrait les ramenèrent tous à la réalité : Kai venait de revenir, il était temps de commencer la répét’.

« Uruha ? Réveil toi on va commencer.»

Ruki posa doucement sa main sur son épaule et le secoua doucement pour ne pas lui provoquer de réveil brutal. Le blond ouvrit un œil, qu’il referma presque immédiatement.
Un léger sourire, presque invisible, mais qui ne passa pas inaperçu auprès de deux observateurs attentifs de la scène, passa sur le visage du guitariste qui se blottit un peu plus contre le chanteur.

« Non, j’ai pas envie, je suis bien là. »

Ruki devint plus rouge encore, si c’était possible, et re-secoua son ami un peu plus fortement.

« Uruha, allez lève toi…sinon Kai va commencer à jouer de la batterie et ça sera bien moins agréable… »

Cette fois ces yeux papillonnèrent avant de s’ouvrir franchement. Il se releva lentement, semblant déçut de devoir se lever de son coussin humain, et s’arracha du canapé pour aller attraper sa guitare.
Ruki se leva à son tour et s’approcha de son micro, ignorant les regards pleins de sous entendus du bassiste et d’Aoi…Ceux-ci étaient plutôt satisfaits de ce qu’ils avaient pu voir.

La répétition ne tarda plus à commencer et dura jusque tard dans l’après midi. Lorsqu’elle se fini, Reita proposa à l’ensemble du monde de venir faire une sortie dans un bar, mais personne ne semblait vraiment très enthousiaste.
Ce soir la débutait leur premier congé depuis plusieurs mois et tous avaient plus envie de dormir que de sortir.

Ils discutèrent encore quelques minutes avant que chacun ne reparte dans ses pénates, certain en se lançant des regards en coin qui en disait plus que des longs discours, d’autre en se tenant tranquillement la main.

A suivre.

bah toujours aussi bien décris, toujours aussi beau ^^ j'adore le passage avec Uruha et Ruki, c'est trop chou ^^ j'espère avoir d'autres moments comme ça ^^

vivement la suite

rolala je suis en retard avec cette fic ici...voila la suite!

Auteur: Akira
Titre: Entre rêve et Réalité
Groupe : The GazettE
Couple : hem…XD apparemment Ruki n’est pas indifférent à Uruha et cela me semble réciproque. On a aussi un Aoi x Kai qui traîne xD
Rating : [R] pour celui là c’est relativement assez violent @_@
Genre : Horreur pour ce chapitre !
Disclaimer : Ils ne m’appartiennent pas ^^
Mot de l’auteur : J’espère que la fic vous plait toujours ! Bonne lecture pour ce chapitre et je suis sincèrement désolé de ce que je fais subir à Ruwa ç_ç
Chapitres : 4/11

[n°2 : Uruha]

La nuit est sombre, on ne distingue pas le moindre détail du paysage.
Pas un bruit.
Pas une lumière.
Pas une seule étoile dans le ciel qui parait pourtant dégagé.
Il n’entend pas non plus le bruit du vent qu’il sent sur sa peau faire bruisser les feuilles des arbres et, chose encore plus étrange, il ne semble y avoir aucune circulation automobile dans les environs…
Seul les bruits de ses pas résonnent dans ce silence de plomb, il appel mais le son de sa voix de parvient pas à ses propres oreilles. Aucun des mots qu’il sent pourtant sortir de sa gorge ne se fait entendre dans le silence d’outre tombe.

Et soudain, un flash de lumière. Un bruit assourdissant, il semble l’ensevelir à tel point qu’il en a le souffle coupé un instant.

Quelque chose de froid entoure ses poignets et ses chevilles. Il sens le froid d’un métal qui se ressert de plus en, plus autour de ses articulations, lui arrachant des grimaces de douleur. Bientôt il ne sent même plus ses mains et ses pieds dans les liens son serrés.
Il se débat, tente de crier, mais plus il tire et plus les liens compressent ses bras et toujours aucun son n’arrive à sortir d’entre ses lèvres.

Un nouveau flash, plus puissant que le précédant. Il réussit à apercevoir des formes. Elle lui semble humaine mais il ne pourrait pas en être sûr.

Une douleur violente au niveau du ventre lui arrache un cri qu’il n’entend encore pas. Il sent quelque chose de tiède couler le long de sa jambe. La douleur vient de la droite.
Il bouge, tente de se libérer de ce qu’il a reconnu comme étant des chaînes, mais il ne parvient qu’à augmenter la douleur qu’il ressent dans le ventre. Une larme coule sur sa joue, suivit d’une myriade d’autre. Il se mord la lèvre.

Encore un flash. Il dure plus longtemps que les autres ce qui lui permet de voir la petite flaque de liquide rouge et visqueux qui ne cesse de s’agrandir. La plaie sur son ventre lui semble béante, noire et dégoulinante de sang.

De nombreux flashs se succèdent à présent et il a l’impression qu’à chacun d’eux, les chaînes s’écartent un peu plus. Il distingue plusieurs formes noires à présent, plus ou moins distinctes. Il lui semble reconnaître certaine silhouette mais la douleur l’empêche de mettre des noms sur ces corps.

Un nouveau cri de douleur lui échappe, mais une nouvelle fois, le silence reste complet.
Son souffle se coupe lorsqu’il sent quelque chose de froid, de fin et de coupant s’enfoncer dans la chaire à vif de son ventre, transperçant doucement son ventre de part en part en une lenteur insupportable. Il baisse la tête et aperçoit le scintillement d’une longue tige de fer venue de nulle part traverser son ventre. Il la sent transpercer ses organes un à un pour se frayer un chemin…
Un torrent de larmes s’écoule à présent sur son visage et des violents sanglots secouent son corps. Il souffre un peu plus à chaque mouvement qu’il fait mais il n’arrive pas à retenir les pleurs.

Et soudain, les chaînes se tendent brusquement, lui arrachant un hurlement inaudible. Il est comme écartelé, si bien qu’il a l’impression que sa blessure va se déchirer encore plus s’il fait le moindre mouvement.
La lumière se fait de plus en plus présente. Partout autour de lui, il n’y a que des gens qu’il connaît. Il appel à l’aide, mais personne n’entend sa voix qui ne sort pas de sa gorge.

Il sent la tige de fer transpercer la peau encore intacte de son flan gauche. Il crie sans cesse les noms de ses amis qu’il aperçoit, debout en dessous de lui, mais personne ne l’entend, pourtant ils le fixent tous avec des yeux vides de sentiments. Vitreux. Des regards morts.
Tout est silencieux.

Les chaînes sont de plus en plus tendues, il sent parfois les os de ses épaules et de ses genoux craqués.
Puis, en un seul mouvements, toute les personnes se retournent vers un point au loin vers une tâche noire qui semble grossir à mesure que les secondes s’écoulent.

Il tente se se concentrer sur ce point qui lui fait oublier la douleur de sa blessure mais à l’instant ou il croit y parvenir, une nouvelle souffrance débute. Les chaînes semblent tournées sur elles même, très lentement. Mais il les sent emporter ses articulations dans le même mouvement. Et finalement arrive le moment ou ses poignets et ses chevilles ne voulurent plus suivrent le mouvement. Il les sent craqué, lentement d’abord, puis de plus en plus.
Il sent de violentes piqûres le long de ses bras et de ses jambes, comme si de nouvelles tiges de fers étaient venues se planter dans son corps.

Malgré tout cela, il n’arrive pas à perdre connaissance, comme si quelque chose l’empêchait de rater une miette du spectacle.
Il relève la tête et un nouveau hurlement s’échappe de ses lèvres. Inaudible, comme tout les autres.

En face de lui se trouve le corps de Ruki, la tête recouverte de sang dont le rouge tranche sur ses cheveux blond est sa peau blanche. De ses yeux coule du sang, mêlée à des larmes qu’il voit brillé à la lumière…tout comme il voit scintillé les deux fines barres de fers qui transpercent ses yeux.
De nouvelles larmes coulent de ses yeux lorsqu’il comprend que le chanteur est attaché sur une grande croix de bois, les bras cloués de chaque coté. D’autres barres sont enfoncées dans son corps pour le maintenir à la croix, il remarque avec horreur qu’il a lui aussi une tige enfoncée dans le ventre.
Le guitariste hurle autant qu’il peut, autant de douleur que de peur pour Ruki. Sa gorge le brûle et il voit flou à cause des larmes. Pourtant le silence est toujours aussi omniprésent autour de lui.

Il voit une main blanche apparaître derrière Ruki. Juste une main dont l’avant bras est anormalement long et extensible. Elle serpente lentement le long de la croix, remontant le long de ses jambes, s’enroulant doucement, presque sensuellement autour de celles-ci. Bientôt, elles arrivent au niveau de son torse nu. Les doigts s’agitent en sentant la peau dénudée, ils caressent, détaillent les muscles et finissent par rencontrer le métal froid de la barre de fer enfoncée dans son ventre. Il caressent la plaie, dessinent des arabesques compliquées avec le sang encore liquide. Ils caressent doucement les bords de la blessure, en font le tour…pour finalement s’enfoncer violement entre la peau et le métal.
Et en arrachent les bords.

La peau blanche de la main est maintenant couverte de sang. Elle reste figée devant la plaie béante d’où s’écoule autant le sang que les organes découverts. Elle joue un instant avec les intestins, les enroulant autour de ses doigts avant de s’en lassé et de continué sa route jusqu’au cou du chanteur sous les yeux d’Uruha qui tente tant bien que mal de se libéré de ses chaînes pour aller aider le chanteur bien qu’il n’y a plus grand-chose à faire pour lui.
Chaque mouvement agrandit un peu plus ses blessures et menace de faire définitivement casser ses poignets et ses chevilles.

La main entoure doucement le cou, le caresse du bout de ses longs ongles couverts de sang. D’un mouvement brusque, les ongles percent soudain la chaire tendre, passant non loin de la jugulaire. Les longs doigts s’emparent de l’artère palpitante, tirant dessus doucement afin de la mettre à jour pour finalement l’arracher, libérant un flot de sang.
La main continue son ascension, elle caresse doucement la mâchoire, passe sur les lèvres pulpeuses et s’attarde sur les yeux…

Un hurlement retentit, inattendu.

« - NOON !!! »

Et tout fut de nouveau noir.

Uruha ouvrit les yeux, il était haletant et tremblant. Il avait chaud et il pleurait.
Il se releva brusquement de son lit et ses mains se collèrent à son ventre. Se laissant retomber sur le lit, il se recroqueville entre les draps humides de transpiration. Des larmes incontrôlables coulaient de ses yeux fermés.
Il n’y avait aucun bruit dans la chambre, et ce fut ce qui le fit paniqué de nouveau. Il sortit de son lit précipitamment, manquant de se prendre les pieds dans les draps défaits qui traînaient sur le sol. Sa main appuya sur le bouton de la lumière et sa main saisit le téléphone posé sur la table de chevet. Il du s’y reprendre à deux fois avant de parvenir à trouvé le numéro.
Une sonnerie, puis une autre. Et enfin une voix endormit lui répondit.

« Mosh’mosh’
-…A…Aoi…
- Uruha ? Qu’est ce qui t’arrive ? Pourquoi tu appelles à cette heure là ?
- je…désolé…vient…s’il te plait…
-…J’arrive. »

Ils raccrochèrent et le brun arriva un quart d’heure plus tard. Il trouva son ami assis sur son canapé, toutes les lumières allumées, les jambes serrer contre lui en train de chantonné la mélodie de Chizuru. Il s’approcha lentement et l’appela doucement en posant une main sur son épaule.

« Uruha ? »

Le blond tourna la tête vers le brun et celui-ci pu voir qu’il pleurait. Aoi s’assit à coté de son ami et le prit dans ses bras en lui murmurant :

« Qu’est ce qu’il y a ? Raconte moi tout… »

A suivre~

bah comme d'habitude ^^ super bien décris, c'est trop beau ^^ change rien c'est génial ^^ vivement la suite ^^

Auteur: Akira
Titre: Entre rêve et Réalité
Groupe : The GazettE + un 2 guest xD
Couple : hem…XD apparemment Ruki n’est pas indifférent à Uruha et cela me semble réciproque. On a aussi un Aoi x Kai qui traîne xD
Rating : [G] ce coup ci XD
Genre : humour, amour et rigolade entre potes…
Disclaimer : Ils ne m’appartiennent pas ^^
Mot de l’auteur : et voilà le chapitre 4~ !
Résumé : JOKER j’ai dit XD z’avez qu’a lire !
Chapitres : 4/11

Entre Rêve et Réalité
Chapitre 4

[Jour de Repos]

Cela faisait presque deux mois que le groupe n’avait pas fait de réelle pause. Ruki et Reita en avaient profité pour aller faire un tour en ville…

« - SHOPPING !!!!
- …Ruki, calme toi s’il te plait, tu vas finir par nous faire remarquer…
- Parce que tu crois que toi tu es discret ? Entre ta crête et son bandana excuse moi mais c’est pas moi qui nous fait le plus repérer de nous deux…
- Oh j’ai fait un effort j’ai pas mis de bandeau !
-…mouais…Sans vouloir te vexer ça revient vaguement au même au final… »

Les deux hommes se regardèrent un instant avant de se mettre à rire. Quelques minutes passèrent et finalement ils entrèrent dans le premier magasin de la rue dans laquelle ils étaient.
Au bout de plusieurs heures, un certain nombre d’autographe, un joli trou dans leur compte en banque respectif, et pas mal de fou rire, ils décidèrent de retourner chez le chanteur pour tester les derniers jeux que Reita avait acheté. La fin d‘après-midi se passa plus ou moins calmement, suivant qui était le gagnant des partie.
Il était vingt heure passée lorsque leurs estomac commencèrent à leur faire comprendre qu’ils étaient vide et qu’ils apprécieraient d’être rempli.

« Une pizza ?
- Ouiiiiiiiiii !! »

Le chanteur rassembla tout son courage et se dirigea vers le téléphone. Il composa le numéro de la pizzeria à emporter la plus proche et commanda leur repas. Lorsqu’il revint dans le salon, il trouva Reita penché sur l’une photo encadré posé sur un des meubles de la pièce. Il se retourna en entendant Ruki revenir.

« Je ne connais pas cette photo là d’Uruha ! »

Il désignait l’une des plus grande photo posée sur le buffet. Ruki s’approcha et vit qu’il parlait de celle ou le guitariste portait le costume pour la séance photo du Neo Genesis, pour son interview personnelle.

« C’est normale, c’est Uruha qui me l’a donné, elle fait partie de celle qu’il n’avait pas été choisit pour le magasine. Il me l’a offert quelques jours après…
- Et pourquoi as-tu eu cet honneur ? »

L’expression du bassiste s’était faire curieuse, pour qu’elle raison le guitariste avait il offert au chanteur, et uniquement à lui, cette photo ou il était…purement magnifique il fallait bien l’admettre…

« Je n’étais pas là lors de la séance photo et…quand j’ai vu les autre j’ai été déçu de l’avoir rater, j’ai eu le malheur de le dire à Aoi…et il lui a dit…et voilà, quelque jours plus tard il me l’a donnée… »

Le chanteur sentait ses joues rougir à mesure que les mots sortaient de sa bouche. Reita le regardait avec un grand sourire. Quand Ruki eut finit de parler il s’exclama joyeusement :

« Ah ! Je vois que ça avance entre vous !
- Je ne vois pas de quoi tu veux parler…
- Arrête Ruki, on a tous remarqué la façon dont vous nous regarder…et comment vous vous parlez…pas moment on a l’impression que vous sortez déjà ensemble … »

Le chanteur soupira. Il allait ajouter quelque chose quand la sonnerie de la porte d’entrer retentit. Heureux d’avoir une échappatoire, il alla ouvrir la porte et ne revint que quelque minutes plus tard, les pizzas à la main.
Les deux hommes n’échangèrent aucun mots durant un moment, se contentant de manger leur pizzas en silence, en regardant vaguement la série qui passait ç la télé. Finalement, alors que la pub vantait les bienfaits de la crème anti-ride l’Oréal, Reita demanda :

« Ruki ?
- oui…
- Tu l’aimes hein ?
-…oui.
- Alors pourquoi tu ne lui dis pas ?
- …Je n’ose pas, et je ne trouve jamais le bon moment pour le faire… »

Deux longs soupirs résonnèrent à l’unisson, alors que Gackt se battait pour trouver son téléphone portable sur l’écran de la télévision (1)

« Tu va lui dire ?
- oui sûrement…
- tu devrais tu sais…il t’aime aussi.
- Je sais mais…
- …Et si je te donnais l’occasion de le faire ?
- Comment ça ?
- Tu verras !
- J’n’aime pas quand tu dis ce genre de chose…
- Tu ne me fais pas confiance ?
- Euh…ça dépend pour quoi…
- La confiance règne ça fait plaisir… »

Un silence. Sur la télé, les acteurs du Drama gigotaient et parlait sans réellement être écouté par les deux musiciens.

« Reita ?
- Oui ?
- J’accepte ta proposition… »

Un large sourire apparu sur le visage du bassiste qui mordit à pleine dent dans une part de sa pizza.

X .x. X
~Ailleurs, plus tôt dans la journée~

Partout dans la rue il y avait du monde. Le batteur marchait tranquillement au milieu de ces gens qu’il ne connaissait pas.
Il se rendant aux locaux de la PSC, assumant sans broncher la tâche difficile de leader du groupe qui l’obligeait à travailler, même pendant leurs jours de repos.
Il entra dans le grand bâtiment et monta dans les étages pour arriver dans le couloir où se trouvait le bureau de leur manageur.
Il allait entrer lorsqu’il entendit quelqu’un appelé son nom derrière lui. Il se retrouva avec un poids sur le dos dans les secondes qui suivirent, et il ne peina pas a deviné qui cela pouvait bien être…

« Miyavi-kun…
- OHAYO KAI-KUN !!!
- T’es en forme toi…
- Tu es tout seul ?
- Oui, le groupe est en congé.
- Aoi n’est même pas venu avec toi ! Quel petit ami indigne, il ne t’accompagne même pas pour te soutenir !
- Uruha a appelé au beau milieu de la nuit et vu la voix qu’il avait au téléphone, il n’allait vraiment pas bien…Il n’appelle que quand il c’est passé quelque chose de grave. Et donc Aoi est aller voir ce qu’il y avait.
- Oh…d’accor. Et tu sais ce qu’il c’est passé ?
- Aoi m’a appelé tout à l’heure, oui. Apparemment il a fait un cauchemar et vu ce qu’il a réussit a raconté a Aoi, je comprend qu’il soit dans un état pareil…
- Mais j’y pense : il ne sort pas avec Ruki lui ?
- Non, toujours pas.
- Oh, ça ne devrait plus tarder.
- ça serait bien oui. »

Le chanteur adressa un sourire à son ami.

« Bon Miya, c’est pas du tout que je m’ennuie, mais le manageur m’attend, je vais finir par être en retard.
- Pas de problème ! Faut qu’on s’organise un truc tous ensemble un de ces quatre, ça fait longtemps qu’on c’est pas fait de soirée !
- J’en parlerais aux autres si tu veux
- Oui ! Appelle moi quand tu le sais, je ferais passé le message aux Alice nine comme ça !
- ok ! »

Les deux amis se saluèrent et Kai entra dans le bureau en face de lui.

X .x. X
~Encore ailleurs, Encore plus tôt dans la journée~

Aoi apporta une tasse de thé à Uruha, assis sur le canapé. Il avait difficilement réussir a lui arraché quelques explication sur ce qui c’était passé et avait appelé son amant pour lui dire qu’il n’y avait rien de grave physiquement, mais qu’il restait avec le blond car on ne pouvait pas en dire autant sur le plan moral.
Il dona la tasse à Uruha et tenta une nouvelle fois de lui faire raconté son rêve. Devant les larmes qu’il voyait afflué aux yeux de son ami il soupira :

« Ruwa-chan, ne pleura pas s’il te plait. C’est fini, je suis là. Mais la meilleure façon d’exorcisé ton rêve c’est de me le raconté, je sais que c’est dur mais tu dois le faire. »

Uruha avait le regard vide, fixé sur un point droit devant lui. A vrai dire, un zombi n’aurait pas peiné à être plus expressif que lui. Aoi allait renoncer une nouvelle fois lorsqu’il entendit la voix du guitariste, tremblante et hésitante :

« Je…j’étais dans le noir…il n’y avait pas de bruit, aucun son rien, j’essayait de crier mais rien ne sortait de ma bouche, même pas un murmure et je me suis retrouvé attaché et il y avait du sang, …mon…sang…et Ruki sur une croix, et encore du sang, et cette main, cette mais elle lui arrachait…et…
- Chut, calme toi, ne pleure plus…c’est fini… »

Aoi attira son ami contre lui, lui murmurant des mots rassurants. La crise de nerfs passa finalement complètement une heure plus tard. Le brun parvenait à lui arracher un sourire, petit mais présent tout de même.
Le midi approcha et les deux hommes déjeunèrent légèrement en regardant un drama.
Aoi renomma l’après midi « Opération : on fait oublier son cauchemar à princesse Uruha ». Il le traîna dehors et ils firent le tour de tous leurs magasins de fringues préféré.
A la fin de la journée, les deux hommes avaient les bras de chargé de paquet. Uruha semblait avoir oublier son cauchemar et souriait en regardant son ami se débattre avec ses sachet plastique, ou se plaignant du prix astronomique d’un eyeliner ou contre les fan qui ne cessait de les accoster dans la rue pour leur demander des autographe alors qu’il n’avait déjà pas assez de main pour porter tout leurs sacs.

« Oh ! Regarde Ruwa ! Tu crois que ça plairait à Kai ? J’ai envie de lui faire un cadeau !
- Je pense que oui…mais à mon avis tant que ça vient de toi ça lui plaira. »

Aoi avait évité de parler du chanteur toute la journée durant, mais vue de la bonne humeur de son ami, il tenta tout de même une question :

« Et toi, tu ne vois rien qui pourrait plaire à Ruki ? »

Il vit comme une ombre passé sur le visage d’Uruha, mais par bonheur celle-ci ne resta pas. D’une voix un peu triste tout de même, il lui répondit :

« Je n’ai pas de raison de lui offrir quelque chose, on est pas ensemble…
- Pas ENCORE ensemble. Ça ne saurait tardé si tu veux mon avis, alors autant prendre les devant !
- Qu’est ce qui te fait dire ça…tu as des preuves de ce que tu avances !
- …Intuition masculine ! Et puis entre les regards, les gestes…Vous ne vous voyiez pas !
- …
- Sans compter que vous êtes déjà vachement ambiguë par moment. Hier encore, Tora est venu me voir pour me demander si vous étiez ensemble.
- Vraiment ?
- Pourquoi je te mentirais ?
- Pour m’embêter ? Et me faire avoir de faux espoir ? Comme tout bon grand frère se doit de le faire ?
- …Bref…Tout ça pour dire qu’a mon avis, tu as tout à y gagné et rien a perdre si tu lui demande… »

Il n’y eut aucune réponse mais il savait qu’Uruha avait parfaitement entendu ce qu’il avait dit. Et il y avait fort à parier qu’il tiendrait compte de son conseil.
La journée se termina tranquillement et Aoi raccompagna Uruha chez lui. Il allait partir quand une voix le stoppa.

« Aoi !...Je suis désolé de te demander ça, je t’ai déjà dérangé alors que tu étais avec Kai et tu es resté avec moi toute la journée mais…
- Tu voudrais que je reste jusqu'à demain c’est ça ?
-…oui…s’il te plait…
- D’accord, je vais juste appeler Kai pour le prévenir.
- Merci…
- Mais de rien, les grands frères ça sert à ça ! »

Fin du chapitre~
A suivre ^^


(1) la pub ou il cherche son portable et ou il trouve que des boites de chewing gum XD si vous l’avez jamais vu aller sur dailymotion et cherché les pub de gackt je vous jure y en a qui valent le coup d’œil XD

et la suite T.T en plus t'as pas d'échapatoire xD tu as fini cette fic xD