Titre : Je t'aime [ bidon XD ]
mot de l'auteur : je suis en plein d'inspiration de one shot malres qu'il soit tous court ; j'avais pencer a une suite pour celui ci enfin a vous de voir maintenant .... hum les gens qui me conaissent assez bien sauront surement qui sont les deux perso ^_^
Chansson : toujours les meme si vous avez lu mon one shot précédent >_<
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L'éspoir me lache de nouveau , la simple pencer que je ne t'aurais jamais me tue d'heure en heure , tu me regarde la , face a moi , je te ment depuis bien trop longtemps , je me ment a moi meme , non je ne t'aime pas , comment pourrais aimer quelqu'un comme toi . . . je te regarde un peu plus , te contemple , t'admire , tu plonge ton regard dans le miens et me souri, je tourne aussi sec la tete , pour eviter de rester plonger dans tes si doux yeux, comment peut tu encore les poser sur moi ? je me détruit chaque jour , chaque heure ou je pence a toi , je t'observe encore un peu , non je ne t'aime pas , je te hais , comment pourrais je t'aimer alros que tu me fait tant soufrir , tu t'approche de moi , je sent ton souffle me transpercer le coeur , tes levres s'approche de plus en plus , tu frole les mienne , je te rejette . Pourquoi ? pourquoi je n'arrive pas a me faire a l'idée que je t'aime plus que tout , tu t'en vas la tete baisse , esse une larme que j'ai cru voir le long de ta joue ?
Pourquoi ? pourquoi me fait tu sa a moi ? pourquoi moi je te fais sa ? je cris ton nom mais c'est trop tard tu n'est plus la , tu est rentré chez toi , suis je si bete que sa pour rejetez l'homme que j'aime ? non ce n'est pas possible je ne peux t'aimer ton coeur est déjà pris , il m'est interdit de t'aimer , mais pourquoi inssiste tu tellement , pourquoi veux tu me faire craquer ? m'aime tu toi ?
Je sort de mon appartement , je cours , je ne m'arrette plus , je sent les gouttes de cette pluie froide frapper mon visage , je sent les larmes que je gardais depuis bien trop longtemps jaillir hors de mes yeux , je cours encore , j'arrive au dessu d'une rivierre , je vois une silhouette , qui peut bien etre ici a cette heure si ? Je m'approche , la nuit est noir , plus noir qu'elle ne l'a jamais ete , juste la lueur de la lune nous ébloui , je m'approche de cette mysterieuse personne et m'assoit a ses côtés , comme le plus merveilleux des hasard c'est toi qui est assis a cote de moi , je sent ton regard pesant sur moi ,tu t'approche et essuie mes larmes de tes douces mains, mais , qu'etait tu venu faire ici ? avait tu pencer un seul instant a ... non ce n'est pas possible , tu n'aurais jamais pencer a sauter , je te prend la main , tu me regarde de nouveau , etonné cette fois si , et nous contemplons la lune , tout les deux assis sur ce pont .
Il est tard maintenant , tu me prend par la main et me diriges jusqu'a ton appartement , une nouvelle larmes roule sur ma joue , nous arrivons chez toi , tu ouvre ta prote et me fait entré , ton appartement est si beau , si joliement décoré , je te reconnais dans cette façon de l'avoir perssonalisé , tu me regarde et t'approche de moi , je te plonge mon regard dans le tien , effrayer de l'impuissance que j'ai face a toi , je m'assoi sur le canaper qui s'offre a moi et te contemple toujours , tu t'avance de plus en plus dangereusement vers moi et t'agenouille , maintenant tu me fait face , nos regard se croisent de nouveau tu te relève un peu et avance le haut de ton corp jusqu'a moi , je sent ta réspiration froler ma peau , tes levres s'avancent de plus en plus , je tourne la tete , tu baisse la tienne désésperrement et te leve , par reflexe j'attrape ta mains et te tire vers moi , je regarde le sol ne sachant que faire et sent soudain tes chaleureuse levres se déposer sur les miennes puis des bras m'enlace , des doux mots murmurés , des promesses , des mots d'amour , Je t'aime , oui c'est ainsi mon coeur et mon corp t'appartiennent , je suis tienne c'est comme sa , je ne suis plus rien sans toi maintenant , mon coeur s'est fermer a tout sentiment a l'instant meme ou je t'avais vu mais maintenant il explose , il aime , il t'aime et il t'aimeras toujours . . .